Après une soirée très chaude en Suisse avec Sowtoh (cf. blog du 24.11.2023), je me réveille jeudi matin la tête encore dans les étoiles comme souvent après une rencontre réussie. Je ne peux malheureusement pas faire de grasse matinée, car je dois me préparer pour mon rendez-vous coquin du jour, un petit gangbang en privé. Il a lieu à midi pour que les participants aient un alibi plausible pendant leur pause de midi, mais aussi car je préfère les rendez-vous en journée. Je ne suis pas du tout du soir. J’arrive sur place vers 11h15, bien avant l’heure. Cela me rend encore plus nerveuse que je le suis déjà, mais finalement le temps passe vite en discutant avec l’organisateur. Je le connais depuis une bonne quinzaine d’années, car c’est le propriétaire du loft près de Lausanne, un lieu connu et reconnu par les libertins romands.
C’est dans ce lieu que j’ai fait mes premiers pas dans ce monde fabuleux du libertinage et c’est également ici que j’ai fait la connaissance de mon amie et Maîtresse Lylla et son mari JC, des personnes très importantes et qui ont marqués mon parcours de libertine et de hardeuse. Je suis émue de constater que le lieu n’a pas changé. Le temps semble s’être arrêté sur le lieu et son propriétaire, car ce sont les mêmes qu’il y a dix ans, la dernières fois que j’y suis venue …
En arrivant je n’ai aucune idée du nombre de participants. Comme l’organisateur parlait de gangbang, je suis étonnée quand il m’annonce qu’il n’y aura que 5 personnes. Ça sera plutôt une pluralité masculine qu’un gangbang.
L’organisateur a l’idée originale de me mettre dans une cage pour attendre et accueillir les invités. Cela me rappelle ma dernière soirée que j’ai faite au loft, la fameuse “descente de police” pendant laquelle je me suis retrouvée dans cette cage. J’ai l’impression de me retrouver projetée à l’époque.
Je suis (un peu) coincée par les barres quand les invités arrivent. Ils m’entourent et ma nervosité tombe dès que je touche les premières queues. C’est parti. Je reconnais deux des participants, même s’ils semblent tous très familiers par le lieu. En essayant de sucer les queues, je remarque que je suis limitée dans mes mouvements par la cage. C’est original, mais pas pratique. Vite, libérez-moi que je puisse enfin agir comme j’adore.
On ouvre la porte de la cage et à quatre pattes je sors de ma prison. Je suis entourée par les cinq mecs avec leur queue dressée autour de mon visage. Je commence de les sucer à tour de rôle. Je suis à la place que j’adore tant, ma place de chienne pour un petit moment de sexe intense.
Après avoir sucé toutes les queues à tour de rôle, langoureusement et profondément, parfois même deux queues en même temps je me déplace à quatre pattes sur le lit qui se trouve à côté de moi. Je continue de sucer un des participants pendant que les autres se préparent pour me baiser. Il ne faut pas beaucoup de préparation et le premier est derrière moi. Un premier coup dans la chatte, puis un dans le cul. Mmmmh, c’est bon. J’adore ça. Je suis toute mouillée car la situation est super excitante.
Un des participants maitrise la double pénétration à la perfection. Il arrive à se mettre sur moi et devant celui qui me baise la chatte par derrière en levrette pour me prendre en même temps le cul. C’est surprenant la première fois car je ne vois pas trop bien ce qu’il fait et je ne m’attends pas à ça. C’est vraiment excellent. Je rigole de cette acrobatie et je dois avouer que c’est super comme position, car je reste en levrette et c’est bon de se faire baiser les deux trous en même temps. Le mec répète ça à plusieurs reprises, entre lesquelles je me fais baiser dans tous les sens. Les coquins semblent bien se connaitre, car il y a une réelle complicité entre eux et ils s’échangent à tour de rôle d’une manière naturelle. Personne ne monopolise la place.
Un premier participant me jouit sur la langue. Les autres continuent encore à me baiser, mais je remarque qu’il y a une certaine fatigue qui s’installe. Certains commencent à faire une pause, à observer. Je ne connais pas leurs habitudes. Est-ce qu’ils ont l’habitude de faire des pauses quand le gangbang dure ? Pour ma part je ne suis pas fan de pause. J’aime quand un gangbang est concentré, en une fois et intensivement.
Je leur demande alors leur sperme et les encourage à se vider sur moi. Les hommes m’entourent, se branlent sur mon visage. Je suce les queues et les couilles tout en faisant aussi usage de mes mains. Je me retrouve rapidement couverte de leur sperme. J’en avale beaucoup. C’est un superbe final.
Avant de me changer, me rincer et boire un verre d’eau je demande aux invités s’ils n’ont pas envie de participer à mon “Fisting-challenge” ? J’explique comment ça fonctionne, je fais une petite introduction et je demande au premier des participants de se rapprocher pour remplacer ma main avec laquelle j’ai commencé à me fister moi-même.
Ce candidat a dû déjà fister des chattes ou des culs, car il est sûr de lui et de ses mouvements. J’adore son expérience. Les autres veulent certainement aussi participer ? Je me retourne et je constate qu’il n’y a plus personne autour. Tous observent de loin. Cela me fait rire. Je crois qu’ils sont trop propres, trop suisses pour me fister le cul. Ils ont au moins eu l’occasion de regarder un fist en direct. Je finis mon fisting-challenge avec le candidat courageux qui me fiste avec une main et demie jusqu’à ce que je gicle mon plaisir en sortant mon prolapse. Merci à lui d’avoir joué le jeu !
Je suis crevée. Je me change et je retrouve les autres pour boire et manger quelque chose, et discuter avec tout le monde.
Merci à l’organisateur pour ce moment très sympa et je tiens encore une fois à préciser que toutes mes rencontres sont purement libertines et que je ne suis jamais rémunérée et je prends tous les frais de déplacement à ma charge lorsque je participe à un gangbang, que ça soir en privé ou dans un club libertin. Je le fais uniquement pour mon plaisir.
