J’ai vécu 24 heures de folies à Saint-Étienne le week-end dernier. Je dois absolument te raconter tout ça, car ce fut un des moments les plus forts de ces derniers mois.
Vendredi je me lève de bonne heure pour me rendre en direction de Saint-Étienne pour passer 24 heures de folies avec “Le clown”, aussi connu sous Zavatrash. En route je m’arrête pour rendre visite à ma copine Hinatou et son mari. Ils ont préparé un succulent repas de midi, mais il n’y a que Vincent (et Yoshi 🤫) qui en profite, car je n’arrive jamais à manger avant un rendez-vous libertin. Je goûterai une prochaine fois aux talents culinaires des Hinatou’s.
J’oublie le temps et j’arrive (un peu) stressée à Saint-Étienne. J’ai juste le temps de me changer dans ma chambre d’hôtel avant que le clown vienne me chercher au pied de mon hôtel pour le premier rendez-vous de ces 24 heures de folies. Il me guide vers le sexshop “Vidéo Zapping” qui se trouve à 2 minutes à pied de mon hôtel. En arrivant, je vois plusieurs hommes traîner devant l’entrée du sexshop. En entrant je découvre qu’il y en a déjà d’autres qui attendent.
Le bukkake aura lieu en plein milieu du sexshop entre les murs remplis de dvd pornographiques d’une autre époque. J’adore l’ambiance. Les participants sont tous gentils, souriants et joueurs. Je suce des queues à tour de rôle. Je me fais tout de suite asperger de sperme, et même baiser le cul par un des mecs. J’adore. Je finis souillée et collante. Mes 24 heures à Saint-Étienne commence bien.
Le gérant du sexshop m’offre un dessous (merci pour ce petit geste) avant que je retourne dans un état douteux à l’hôtel pour me changer et sortir Yoshi. Heureusement que je n’ai pas croisé beaucoup de personnes sur le chemin de l’hôtel car elles se seraient posées des questions sur mon état.
Le film “24 heures de folies avec le clown Zavatrash – Partie 1: Bukkake dans un sexshop” est sorti dans l’espace abonnés, ainsi que 196 photos du bukkake et du gangbang (P-6228)
Découvre le teaser du bukkake dans un sexshop:
Après ce superbe et excitant début de séjour j’ai (enfin) le temps de me reposer à l’hôtel. Comme j’étais hyper nerveuse la nuit dernière je n’ai pratiquement pas dormi et je me suis levée de bonne heure pour me préparer, être en route, passer du temps avec Hinatou et stresser ensuite pour arriver à l’heure au premier rendez-vous. Je m’écroule sur le lit et je me réveille (denouveau) en stress pour me préparer pour la soirée. Décidément. Après 20 minutes de marche j’arrive au loft du clown complètement stressée et encore plus nerveuse que d’habitude.
“Encore plus nerveuse que d’habitude” est quasiment impossible, car c’est mon état normal avant une rencontre avec une ou plusieurs personnes mais ce soir je flippe carrément, peut-être parce que je sais que le gangbang sera + hard que d’habitude. La présence d’Hinatou et d’autres personnes, notamment des libertines que je connais de soirées précédentes dans la région lyonnaise et qui sont toutes superbes gentilles, me soulage un peu. Je cache ma nervosité sous mon sourire habituel.
L’attente me semble interminable, mais ça démarre enfin. Les mecs vont se préparer dans la pièce où le gangbang aura lieu. Ce n’était pas prévu, mais j’insiste pour qu’Hinatou me tienne compagnie pendant le gangbang, ou en tout cas au début. Cela va me détendre (un peu). Quand je me retrouve à genoux pour sucer les premières queues ensemble avec Hinatou, j’oublie tout autour de moi. L’ambiance devient rapidement très chaude. Les participants me connaissent et savent qu’ils peuvent se permettre de me bousculer. Je me fais prendre par les cheveux pour des gorges profondes forcées, des mains me maintiennent, m’étranglent, me giflent. Après les premiers instants, je perds rapidement Hinatou de vue. Je me fais prendre en main par les hommes en grande forme ce soir. Je n’arrive plus à voir et à vraiment comprendre ce qu’il se passe.
Le premier mec s’apprête à me baiser, c’est Monsieur “slip de canard”, le viking avec sa très grosse queue. J’arrive juste à lui dire en rigolant qu’il devra viser le cul et pas ma chatte trop serrée pour sa queue. De tout de façon les mecs préfèrent la sodomie. Je me fais baiser bien fortement le cul pendant qu’il me tient par les cheveux. Je suis montée comme une jument.
C’est parti pour un moment de folies pures. Je dois être honnête que c’est tellement intense que je n’arrive plus exactement à me souvenir du déroulement précis.
Le clown arrive avec une bombe de chantilly et me remplit la bouche de chantilly pour me faire baiser ensuite la gorge par des coups de queues et de mains. C’est dingue. Il me semble que je viens à peine arrivée dans cette chambre que je suis déjà complètement souillée et défaite. Je vais découvrir plus tard sur les images qu’Hinatou a aussi le droit à la chantilly, mais à ce moment-là je n’arrive à ne plus rien voir. Je remarque juste des corps autour de moi, des mains qui me tiennent, me giflent et de la chantilly qui me bouche la gorge et qui coule partout.
Les mecs continuent de jouer avec de la chantilly. J’en ai dans mon cul et sur tout le corps. Les fessées pleuvent. J’ai l’impression de perdre un peu, beaucoup le contrôle. Ça me remplit d’une excitation énorme. Je sens monter l’adrénaline. Je suis comme en extase, sûrement comme une overdose d’adrénaline où je ne contrôle plus rien autour de moi. J’ai l’impression que je ne peux plus encaisser les queues, les gifles, les fessées, les étranglements mais au moment où on relâche l’étreinte, j’en veux encore plus !
Entre des phases durant lesquelles j’ai carrément le souffle coupé, je rigole. Je ris à gorge déployée, expressivement, car je suis juste heureuse, je m’éclate carrément. Comment expliquer cela ? J’ai toujours eu ce côté pas forcément soumise, mais plutôt maso avec l’envie d’explorer mes limites. Je suis de nature forte et j’adore affronter des gens qui sont plus forts que moi et qui arrivent à me pousser vers mes limites. Mon fantasme c’est de dépasser ces limites, mais il est très rare que l’on arrive à me faire ça car je suis capable d’aller très loin. Il faut être très joueur, très fort, décidé et surtout avoir un savoir-faire dans ce domaine pour m’affronter. J’essaie d’expliquer la situation de ce qu’il s’est passé dans ma tête à ce moment-là en espérant que tu puisses peut-être comprendre un peu mieux ce que j’ai ressenti.
De perdre le contrôle absolu de la situation me fait vibrer, m’excite. J’incite moi-même les mecs à aller encore plus loin en les narguant, car je veux vraiment que ça dérape encore. Je le veux, car j’ai aveuglement confiance en tous les mecs présents. Je sais que tout le monde sait ce qu’il fait et je peux me laisser aller en toute confiance.
Le fait que la plupart des compagnes des participants sont assises sur un banc pour observer le spectacle amène un côté d’humiliation publique pervers. Avec le recul cela me fait bien rigoler. J’imagine l’étonnement des personnes qui n’ont pas l’habitude de ce genre de soirées s’ils voyaient ce spectacle !
Je me fais baiser, gifler, fesser, étrangler, cracher dessus par des mecs où leur partenaire regarde le spectacle assise sur un banc à deux mètres de la scène.
Quelqu’un amène un gros gode en forme de fist. Je me fais baiser le cul avec ce jouet pendant qu’une autre main essaie de se faire un chemin dans mon cul. Je crois que mon cul pourrait accueillir les deux, mais je ne peux pas me détendre, car on me gifle en même temps et l’on me verse de l’eau froide sur la tête. Ça me fait crier et rire en même temps. C’est excitant qu’on me maintienne les jambes pendant qu’on essaye de baiser mon cul. Dans ce délire j’ai de la peine à distinguer exactement qui s’occupe de moi à cet instant, mais je retiens “slip de canard”, le “maître des gifles” et “mister tattoo” qui cache, sous ses airs de petit jeune calme et bien sous tout rapport, ses pulsions perverses. Les autres suivent, en pleine forme et tellement joueurs. Quelle équipe de dingos !
Je me fais baiser encore et encore pendant que l’on me tient ou que l’on me bloque fortement avec des mains, des pieds, que l’on me gifle, que l’on me tire les cheveux, que l’on m’étrangle ou me crache dessus.
Quand le clown Zavatrash participe personnellement, c’est une montée d’adrénaline incroyable et quand j’y pense, j’en vibre encore. Il me prend la tête entre ses mains, me force à ouvrir la gueule, m’écrase presque la tête. Quelqu’un d’autre me force la bouche avec le gode et aussi sa main. À plusieurs reprises j’ai l’impression de tomber dans les pommes si ça continue et dès que l’on me relâche j’ai envie que ça continue. Je regrette que je n’ai pas pu tenir plus longtemps.
À un moment donné, je vois Hinatou arriver, se mettre debout par dessus moi et pisser sur ma tête et mon corps. Je rigole. La coquine participe à mon humiliation. La baise hard continue. J’ai de la chantilly, de la bave, de la sueur et maintenant de la pisse sur moi. Je ne remarque plus où est le dessus, le dessous.
Est-ce que je suis folle ? Non, je ne crois pas. Pour moi, c’est un fantasme, une pulsion, un besoin de perdre le contrôle et de me faire utiliser de la sorte. C’est très très rare que ça arrive avec une pareille intensité. Ce n’est que quand tout le monde est sur la même longueur d’onde et que tous veulent la même chose que c’est réalisable à ce point. Les mecs réalisent leur fantasme de s’amuser sans limites avec une femme qui ne demande que ça. Si je n’avais pas confiance à 200% et si je n’étais pas complètement d’accord avec ce traitement, jamais ça ne serait possible. Je ne suis pas seulement d’accord, mais sur ce moment précis je le demande et j’en réclame même plus. Sur la vidéo tu verras mes rires et mes provocations envers les hommes d’y aller encore plus fortement.
Je pense que dans mes 26 années de libertinage, je n’ai vécu que 3 ou 4 moments aussi forts. Je remercie le clown Zavatrash pour la réalisation de ce fantasme et de ce délire incroyable.
Je peux comprendre que l’on ne comprend pas ou que l’on n’adhère pas à ce genre de délires, de pratiques mais en même temps je ne suis pas une actrice qui veut et qui ne peut plaire à tout le monde. Je suis une libertine qui réalise ses envies, ses fantasmes. J’assume complètement ce côté “dingue” de moi. Si on n’aime pas, on peut juste zapper ce délire. Je te rassure que ce genre d’aventure reste et restera une exception car ce n’est pas si facile à réaliser et que moi-même je n’ai pas envie de le réaliser chaque semaine.
Pendant ce traitement de choc, une veine dans mon oeil a dû péter. Mon oeil est tout rouge, mais je ne remarque rien. Je serai moi-même étonnée plus tard en me regardant dans le miroir. Le clown par contre le voit immédiatement et décide d’arrêter le gangbang pour passer au bukkake final.
Pendant que je me gode moi-même le cul avec la main artificielle, les mecs se branlent sur moi pour m’asperger de sperme. C’est un superbe final bien juteux et je m’écroule complètement k.o., défaite, mais tellement heureuse.
MERCI à le clown Zavatrash pour ce moment dantesque, MERCI aux participants et à leur compagne de m’avoir “prêté” leur compagnon et d’avoir autorisé ce délire complètement dingue. Vous étiez tous incroyables ce soir !
Le gangbang sera publié vendredi 29 mars 2024 en 2 parties. Il y aura une partie accessible à tous mes abonnés et une autre, où mes abonnés pourront demander un code pour accéder au visionnage du gangbang, la partie la + hard étant très hard.
Concernant mon oeil, il va bien. Je suis passée samedi dans une pharmacie et on m’a donné des gouttes. L’hématome commence à se résorber. C’est une blessure involontaire comme un bleu. Ça peut arriver dans les jeux sexuels, comme dans le sport, comme au bureau avec une agrafeuse 😉
Samedi matin au réveil je suis complètement cassée mais tellement heureuse. Je suis encore sur mon nuage. Je termine mon séjour dans la région de Saint-Étienne et de Lyon par un gros bukkake en extérieur, accompagnée d’Hinatou, de milf la gitane et d’une autre libertine. Je te raconterai cet événement plus en détails dans un prochain article blog.
Après ce week-end de folies j’ai besoin de redescendre de mes émotions et de me reposer. Je m’arrête sur le chemin du retour à Barjac, en Ardèche, pour y passer la nuit dans un mas pittoresque et le lendemain d’aller visiter Uzès dans le Gard. Je reprends aussi des forces avec d’excellents mets locaux. Je vais rester encore quelques jours sur mon petit nuage, soigner mon oeil et mes fesses bleues.
À très vite pour de nouvelles aventures !
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