Gangbang chez MZL dans la région lyonnaise

La première fois que j’ai rencontré MZL – libertin, organisateur de soirée, Maître et propriétaire d’un magnifique donjon – c’était lors d’une soirée très intense et très trash chez Zavatrash. On a ensuite remis ça dans son superbe donjon superbe, quand il m’avait invité pour une soirée en deux parties: Dans la première partie il s’était occupé de moi dans un mélange de domination-fisting-baise et pour la seconde partie de gangbang très hard il avait invité pleins de mecs en pleine forme et très motivés, ainsi que des femmes et couples joueurs. Tu te souviens peut-être des vidéos de ces soirées hors norme qui se trouvent dans les rubriques vidéos “gangbang” et “BDSM” de mon site.

Mes attentes pour cette nouvelle rencontre sont donc assez haute. Toute la route je suis nerveuse et quand j’arrive chez MZL je suis comme paralysée. C’est souvent le cas quand je suis au maximum de ma nervosité. Je perds un peu mes mots, je ne suis pas comme d’habitude, je suis stressée et je ne sais pas comment me tenir et quoi dire. Au point que je n’arrive même plus à rigoler et taquiner comme d’habitude. C’est très gênant. 

Je reprends le dessus quand j’explique mon souhait pour une première partie. Avant la rencontre j’avais déjà annoncé à MZL que j’aimerais bien qu’il s’occupe de mon cul dans la première partie: Fisting, gros godes, prolapse, de la dilatation anale extrême comme j’adore.

Je suis plus détendue quand ça commence. MZL me fiste avec une main, puis avec deux mains, avec mon gros gode, je sors mon prolapse, je squirte et je mouille tout. C’est dingue comme entrée en matière. À la fin de cette petite session, MZL essaie de me pénétrer avec une petite balle de rugby car le thème de la soirée gangbang c’est la mêlée en rugby. Je suis déçue car le ballon est (un peu) trop grand et n’entre pas entièrement, mais c’est une finale assez marrante pour l’ouverture de cette soirée. 

Je m’attends à ce que mon hôte prenne les choses en main pour une suite BDSM, mais je remarque que ce n’est pas le cas. Il attend ses invités pour la partie gangbang. D’autres femmes arrivent, dont une de ses complices que je connais et que j’apprécie beaucoup, la super gentille “Curvyslut”.

Je ne suis pas déçue qu’il n’y ait pas de partie BDSM, peut-être (plutôt) surprise, et mal à l’aise, car l’attente est longue. Je ne me sens pas du tout à ma place. C’est compliqué à expliquer. Les invités arrivent petit à petit et je me sens de plus en plus gênée de les attendre “comme ça”. J’ai envie de disparaître et surtout j’ai envie que “les festivités” commencent. Pour des rencontres, des gangbangs j’aime quand ça commence de suite, sans attente, et que l’on discute après, pas le contraire.

Il y a beaucoup de monde,  surtout des hommes seuls et aussi quelques couples. Comme ils arrivent les uns après les autres, j’ai le temps de faire la bise à chacun, d’échanger quelques mots. Et même si je préfère quand ça commence directement (et je préférerai toujours ça), c’est sympa de remarquer que beaucoup de mecs ont un véritable plaisir de me rencontrer et même pour certains qu’ils réalisent carrément un fantasme que je sois là. L’ambiance est chaleureuse et souriante.

MZL décide (enfin) de lancer la partie gangbang avec une petite allocution. Je n’écoute aucun mot de celle-ci, car je n’ai pas l’esprit à écouter. Je cache ma nervosité en rigolant et en taquinant des mecs en leur disant et leur montrant que j’ai juste envie de commencer à m’occuper d’eux. Je me mets sur le matelas au milieu de la pièce et je demande aux invités de s’approcher. 

Je suis vite entourée de queues. Il y a sûrement une trentaine d’hommes seuls présents ce soir, mais pas tous n’osent s’approcher. Beaucoup d’entre eux restent en mode “observateurs” en deuxième ligne. Est-ce que c’est la caméra qui dérange ou est-ce qu’ils sont juste (un peu) timide ? J’ai quand même une bonne dizaine de queues à sucer autour de moi. Je fais ma chienne et j’essaie de les chauffer un maximum. Par excitation, certains ont déjà envie de gicler. Je pense intérieurement: quoi ? déjà? MZL joue le motivateur et encourage les mecs à m’offrir leur sperme, s’ils en ont envie. Du coup c’est un premier round plutôt en mode bukkake que gangbang. 

Je me fais baiser pendant que je continue à sucer les queues, mais je remarque que ça ne sera pas d’une intensité et d’une hardeur comme je me suis imaginée. Les participants sont trop gentils, trop timides, pas assez machos et pas assez sûrs d’eux. certains essaient quand même de mettre une ambiance “hard”, mais parfois plutôt d’une façon maladroite.

Quand l’ambiance d’un gangbang n’est pas hard et trash, c’est déplacé de cracher sur la fille ou de lui arracher les cheveux. Ça n’a tout simplement pas de sens. Il ne faut jamais essayer de jouer un rôle ou de créer une ambiance en se forçant. Une ambiance hard et trash se fait naturellement selon le caractère des participants. Chaque gangbang est autre et une ambiance ne peut pas être créé artificiellement. Je rappelle en bas de cet article les règles pour les “gangbangeurs”.

Je vis un gangbang très sympa dans une ambiance positive, mais ce n’est clairement pas le gangbang le plus intense que j’ai vécu, malgré un participant expérimenté qui m’offre de bonnes fessées, des étranglements et des gorges profondes forcées. Mais comme le reste de la bande ne peut suivre le hardeur ça n’a pas de sens. À un moment donné, les mecs se sont tous vidés. J’ai reçu beaucoup de jus, presque tous me l’ont offert sur le visage, la langue, mon corps. Je suis toute défaite et collante. Tout à coup c’est vide autour de moi. Je rigole en disant: “Vous êtes déjà fatigués?“. Je commençais tout juste à me chauffer … Je le dis en riant, mais il y a une part de vérité. 

MZL demande si j’ai envie d’une bonne douche dorée ? Je suis (bien sûr) preneuse. Ils ne seront que 2 à me pisser dans ma bouche et sur mon corps. Il n’y aura pas d’autre volontaire pour la douche dorée, car ce n’est pas une pratique usuelle pour les personnes lambda. 

Je me refais une beauté dans la salle de bain. Pendant ce moment j’invite gentiment les mecs à sortir de la douche pendant que je la prends. Je rappelle un point très important. Si la femme n’invite pas le mec à participer à la douche, laisse-là prendre sa douche tranquillement et se refaire un une beauté toute seule.

Je sors de la salle de bain et je constate que l’ambiance “gangbang” a laissé place à une ambiance apéro/discussion.

Je vais voir comment va Yoshi, qui est resté très sage pendant toute la partie “gangbang”. Maintenant il est détaché et profite de sa liberté pour aller voir ce qui se passe, dire bonjour à tout le monde et tenter d’attraper quelque chose de l’apéro. Je bois un verre de coca, je discute avec des mecs, je rejoins Vincent. J’ai le plaisir à retrouver Zav, le Clown, qui est également présent. Cela me fait vraiment plaisir de le revoir, car il m’a organisé par le passé deux des meilleurs moments hards de ma vie ! 

Après cet interlude, j’ai envie de relancer le gangbang. Je suis quand même venue pour ça. Pour relancer l’ambiance, je demande à MZL de me fister devant tout le monde. Je me fais démonter le cul et faire gicler devant tout le monde. 

Après le spectacle, un premier mec s’approche, puis deux, trois autres. J’ai quelques bonnes queues à sucer et je me fais baiser avant qu’ils m’éjaculent dessus, mais la plupart des mecs restent en mode “observateurs”. Du coup je laisse tomber mes efforts d’encourager les autres mecs, je me rhabille et je reste encore un long moment à discuter, faire des selfies avec ceux qui me demandent.  

Les mecs, les couples sont tous super sympas, et même si je n’ai pas vécu un gangbang comme je l’avais imaginé, je ne regrette aucunement d’être venue. Merci à MZL pour son organisation, à tous les participants, ainsi que tous ceux et celles avec qui j’ai eu des discussions super intéressantes ce soir.

Quand je rentre à l’hôtel j’ai faim, car je n’ai rien mangé de la journée et je commande au room-service un énorme plat de fromage et de saumon fumé à … 2 heures 30 du matin. Je profite ensuite de ne pas rentrer directement au Cap, mais de passer encore une journée et une nuit en Ardèche.

C’était un superbe week-end et je me sens comme après une semaine de vacances, la tête pleines d’étoiles.

LES PHOTOS ET LE FILM DE LA SOIRÉE SERONT DISPONIBLE PROCHAINEMENT DANS L’ESPACE ABONNÉS

Je profite de l’occasion pour te rappeler quelques règles de gangbang:

  • N’essaie pas de créer une ambiance hard superficiellement. Quand il y a des participants qui savent se comporter d’une manière dominante “naturellement”, l’ambiance suivra.  Par contre, quand c’est l’ambiance est tranquille car les participants le sont, accepte ça et profite juste du moment.
  • N’essaie pas de faire des choses que tu ne maîtrise pas ou que tu as vu dans des vidéos. De se faire cracher dessus n’a tout simplement pas de sens si ce n’est pas dans un cadre de domination sexuelle absolue. Le crachat peut même être dégoûtant si la personne a mangé auparavant.
  • Me faire tirer les cheveux peut être très excitant, mais souvent je me fais juste arracher la moitié de mes cheveux car c’est fait maladroitement. Si en plus c’est pendant une ambiance plutôt molle, cela va plus m’énerver qu’exciter, car je tiens à mes cheveux !
  • Claquer les fesses, oui, ça peut passer. Me baffer par contre dépend aussi de l’ambiance. Comme cracher ou tirer les cheveux, il faut que ça soit lié à de la domination sexuelle intense et maîtrisé.
  • L’étranglement, s’assoir sur le visage, me forcer à des gorges profondes jusqu’à me couper le souffle trop longtemps, c’est pareil. Cela peut me faire grimper au plafond si tu es un mâle dominant qui maîtrise ce comportement. Mais encore une fois si tu te crois juste dominant ou si tu l’as vu dans des films, n’essaie même pas !

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Adeline Lafouine
administrator

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