Je retourne (enfin) à Paris et je me réjouis trop. Je décide de faire le voyage en train et j’espère que ça se passera bien avec Yoshi. Pendant le trajet de 3h10 depuis Montpellier, il se comporte comme un petit ange et j’arrive reposée à Paris. Ça change du trajet en voiture. Pourquoi je n’y ai pas pensé avant ?
Comme le trajet en train m’a fait gagné du temps je profite dès mon arrivée à l’hôtel pour réaliser une vidéo solo sexy, une session de fisting avec Vincent et une superbe rencontre très hard le soir. Je me fais démonter par deux complices en pleine forme. Je mouille tout et j’encaisse comme j’adore. C’est une très belle manière de commencer mon séjour parisien.
Je me réveille mardi matin courbaturée. Je me prépare sous la douche et je sens que j’ai fait beaucoup la veille. Comment vais-je faire pour assurer le gangbang de midi ? En même temps je suis une “guerrière” et j’ai l’habitude d’enchainer les efforts physiques. D’autant plus que le sentiment de courbatures et de sentir mon cul sensible n’est pas désagréable. Cela me rappelle la belle rencontre de la veille et je trouve c’est la meilleure des fatigues du monde.
Vers midi je suis prête et à l’attaque. J’ai choisi un ensemble en résille qui a déjà bien vécu et qui peut se faire déchirer. Par dessus, une robe simple et des bottes. Je ne prends pas de talons avec moi, car de tout de façon je ne les garde jamais très longtemps et je peux me passer de les prendre avec pour me rendre sur la rive gauche dans le 15ème arrondissement.
Pendant le trajet en Uber je suis hyper nerveuse. J’arrive trop tôt sur place et je vais encore boire un thé dans un Starbucks au coin du lieu de rendez-vous. C’est impossible pour moi de me détendre, même si ce n’est pas mon premier gangbang. Entre parenthèse c’est une excellente question, combien de gangbangs j’ai déjà fait dans ma vie ? Je méditerai un autre jour sur cette question. Ce que je sais par contre c’est que je vis chaque gangbang comme si c’était le premier.
Il est l’heure. Je marche vers l’entrée de la nouvelle factory et au croisement d’une rue je tombe sur l’organisateur du gangbang qui accueille les participants. Je vis les moments qui suivent comme dans un nuage, car je suis tellement nerveuse que je n’arrive pas (vraiment) à réfléchir. Je traverse l’entrée du local, des couloirs, des portes pour arriver dans un endroit sombre. On devine pleins de gens sans vraiment les voir. L’organisateur fait exprès que je ne tombe pas directement sur eux. On me guide vers l’accueil et la garderobe. Lors de mon dernier gangbang à cet endroit le local était en pleins travaux. Maintenant il n’est plus reconnaissable, car tout a changé. Il n’est pas encore fini à 100% mais on découvre le potentiel de l’endroit.
Je dépose mes affaires et enfin les participants arrivent. C’est toujours impressionnant de voir arriver tout un groupe d’hommes. Intérieurement je tremble, mais je suis aussi enchantée. Je les salue avec un grand sourire. Je discute et je fais la connaissance de certains avec qui je suis en contact sur mes réseaux privés. J’ai surtout envie que le gangbang commence. En rigolant je dis aux participants de ne pas partir, mais de me suivre quand on me demande de me rendre dans la salle, où le gangbang se déroulera.
J’enlève ma robe et mes bottes, et je m’installe sur le lit rond au milieu de la pièce. Je devrais peut-être faire un petit show pour commencer ou pour la vidéo ou je-ne-sais-pas-quoi, mais je suis trop nerveuse. J’ai juste envie de sucer la première queue pour (enfin) me détendre. C’est comme un médicament pour moi: Je flippe et dès que j’ai la bouche et les mains occupés, je me sens mieux.
Heureusement je ne sois pas attendre longtemps et je suis rapidement entourée par tous les mecs. Qu’est-ce que j’adore cette situation. Pleins d’hommes qui ont envie de sexe et qui sont là que pour moi. Je suce le premier, un deuxième, un troisième, pendant que je branle des queues à gauche et à droite. Je suis très expressive comme toujours. J’aime bien échanger, mettre l’ambiance, rigoler et taquiner les mecs.
Après une tournée de fellations, je me mets à quatre pattes pour accueillir la première queue dans mon cul. Le premier mec baise directement mon cul et je sens que j’ai déjà pris cher la veille. Mon cul s’ouvre vite et je savoure la sensation. C’est bon de se faire sodomiser tout en suçant une bonne queue. L’ambiance est géniale. Les mecs sont de super bonne humeur et surtout très complice. Un des mecs agit comme un meneur de troupe. Il dirige les mecs, les motive et les encourage à ne pas être trop gentil avec moi. Je me fais baiser à tour de rôle, surtout à quatre pattes, et surtout le cul.
Je suis à disposition en “mode chienne” pour me faire baiser et vider des couilles. Je n’aime pas trop ces termes, car je trouve ça vulgaire, et je ne suis en aucun cas la “salope classique”, car je rigole souvent. Surtout je taquine les mecs et je les encourage à y mettre beaucoup d’énergie et ne pas avoir peur de me tenir les mains, de me fesser et parfois aussi me mettre des claques.
Je reçois les premiers jets de sperme sur ma langue et je continue à encaisser les queues. Quelques participants tentent des doubles pénétrations et ils excellent dans cet art compliqué. Ils doivent avoir de l’expérience, car ils tiennent bien longtemps la position. C’est bon de se retrouver avec une queue dans la chatte et une dans le cul, et même avec deux queues dans le cul. En même temps je suce en ou je branle des queues. Je suis entourée de corps et de queues bien dures et j’oublie complètement le lieu et le temps.
La fin du gangbang approche. La plupart des participants fatiguent ou ont déjà jouit sur ma langue. Je me fais encore démonter par les deux, trois mecs les plus énergiques. C’est tellement intense que parfois j’ai l’impression de perdre connaissance. J’ai la tête qui tourne, mais une seconde après je rigole à nouveau. Je me sens remplie d’énergie et de bonheur. C’est un vrai kick d’adrénaline.
Je pourrais continuer encore longtemps, mais le but d’un gangbang n’est pas un trio devant les spectacteurs. Du coup j’annonce la finale en demandant aux mecs de me donner leur sperme, en tout cas ceux qui n’ont pas encore gicler. Je me fais bien souiller. Un des mecs est très excité par ma chatte. Je lui propose de me jouir dessus. Je pensais que c’était le dernier, mais non, il en reste encore qui finit par m’asperger par une pluie de gouttes. C’est top. Je suis dans un sale état. J’ai du sperme partout sur le visage et dans les yeux. Je suis couverte de bleus, j’ai mal partout mais je suis extrêmement heureuse. C’était un délire incroyable.
Avant de retrouver les participants pour discuter encore un peu, je veux me refaire une beauté mais dans la nouvelle Factory encore en travaux je ne trouve nulle part un miroir. Finalement on me montre le seule miroir posé sur le sol dans une salle de bain encore en travaux. Accroupie, avec une mauvaise lumière, j’essaie de rincer mes lentilles de contacts, mais je peux oublier pour me coiffer ou me maquiller correctement.
Je me rends avec une tête improbable vers les participants du gangbang qui sont encore présents pour boire un verre. Bien sûr c’est maintenant que tout le monde veut faire une photo avec moi. Je ne dis jamais non et il y a d’innombrables photos de moi avec une tête de zombie d’après gangbang dans les téléphones portables des mecs que je rencontre depuis des années. On devrait en faire une collection “la galerie des horreurs”.
Après ce superbe moment je pars au centre de Paris, toujours avec ma tête de zombie, me détendre dans un restaurant que j’adore à Paris, “Le pied de cochon”. Là-bas je trouve enfin des toilettes avec un miroir et de la lumière pour me rafraîchir. J’ai toujours une tête bizarre, mais je m’en fou. J’adore ce sentiment après une bonne baise.
Merci à tous les participants et à l’organisateur. Je reviendrai !
LE FILM DU GANGBANG SERA DISPONIBLE VENDREDI 8 MARS 2024 DANS L’ESPACE ABONNÉS
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