Une visite de chantier très particulière

J’ai reçu une invitation d’un libertin, une rencontre avec lui et deux de ses amis dans une maison en travaux. Sans trop hésiter, j’ai accepté cette proposition, qui réveille en moi un petit goût d’aventure, rappelant mes escapades libertines d’il y a quelques années.

Ces derniers temps, je reçois presque toujours chez moi, et généralement une seule personne à la fois. C’est devenu rare qu’on puisse m’accueillir ailleurs, et encore plus rare que je me déplace. Alors, forcément, je suis à la fois excitée et nerveuse! Je ne connais pas ces personnes, et je n’ai aucune idée de ce qui m’attend.

Dès le matin je flippe à l’idée de devoir être nickel, propre et prête, surtout que je pense ne pas avoir de possibilité sur place de faire un « dernier check » de propreté anale, comme à mon habitude. Ma propreté anale a toujours un énorme souci pour moi, quelque chose qui me préoccupe vraiment et qui me met toujours une sacrée pression. J’ai horreur de ne pas être propre et je peux vous dire que ma nervosité avant chaque rendez-vous vient surtout aussi de ça. Je crains de ne pas assurer, de ne pas être parfaitement prête pour tout ce que mes partenaires ont envie de faire. J’essaie de relativiser. Au pire je pourrais juste faire des pénétrations vaginales, et en plus je ne sais pas si ça sera hard, s’ils vont assurer ou non? Ils ne s’attendent certainement pas qu’à ça, car une rencontre ne s’arrête pas à de la baise anale. En même temps, ma « réputation » fait que tout le monde attend ça de moi et je ne désire pas décevoir quelqu’un.

J’essaie de me rassurer. Après toutes ces années d’expérience je devrais être une vraie pro de la préparation anale, et je le suis mais ces dernières semaines mon intestin m’a joué quelque fois de mauvais tours. Du coup je n’ai pas confiance à 200% en mon corps. Pour résumé je passe presque toute la matinée dans la salle de bain, et j’en fais certainement beaucoup trop! Mon intestin est tellement vide et propre que tu pourrais manger dedans, mais j’ai toujours des craintes…

Au petit-déjeuner, impossible de résister : un croissant et un café au lait. Pas la meilleure idée, je le sais bien. Ça n’arrange pas mon état d’esprit, déjà en proie à une bonne dose de stress. Le choix de la tenue ? Totalement secondaire. Je décide de faire simple : des bas résille, une petite robe noire que j’enlèverai sur place, et les cheveux attachés en queue de cheval. Malgré ma garde-robe bien fournie, je finis toujours par opter pour les mêmes pièces, classiques mais efficaces.

En route, mon angoisse ne fait qu’augmenter. Je tente de ne rien laisser paraître, mais à l’intérieur, je me sens comme une débutante. Une vraie ! Une fois garée, Vincent échange avec le libertin pour confirmer l’adresse. On attend un moment devant une maison en travaux, en plein centre d’un petit village. L’attente me semble interminable : mille scénarios, mille morts de nervosité !

Enfin, un homme souriant sort pour nous accueillir. Il est chaleureux et met tout de suite à l’aise. Il nous explique le programme : il commence par me faire visiter le chantier, où deux ouvriers travaillent encore. Ensuite, viendra le moment de « négocier » le prix de la maison… Quant à Yoshi, il devra patienter dans le garage à cause d’un chat dans la maison. Oh là là, ça risque de ne pas lui plaire. Mais bon, il survivra.

Je pousse la porte et découvre un joyeux chaos dans cette maison : une cuisine en désordre, des objets éparpillés un peu partout, et… une salle de bain. L’idée de demander à y passer me traverse immédiatement l’esprit.

Avant tout, j’installe Yoshi au garage, qui, lui aussi, est un beau bazar. Je dépose mon sac à côté de lui et hésite un instant. L’envie de faire pipi devient pressante, mais je me raisonne : ce n’est sûrement que ma nervosité qui parle. « Allez, arrête de faire ton cinéma, reprends-toi », me dis-je. Je n’ai pas envie d’être celle qui complique tout ou fait attendre ses hôtes. Après tout, je suis une grande fille, non?

Alors, je ravale mon hésitation, ne dis rien, et me laisse guider dans la maison, tentant de masquer le tourbillon intérieur qui m’agite.

La maison est étroite et s’étend sur trois étages. Nous empruntons un escalier très exigu pour atteindre une grande pièce presque vide, seulement meublée de trois vieux canapés en cuir et d’un énorme miroir couvert de poussière. L’atmosphère est étrange, presque hors du temps.

Nous continuons de grimper jusqu’au troisième étage, qui est en plein travaux. Les deux « ouvriers » s’affairent à bricoler. Je les salue brièvement avant de redescendre au deuxième étage. Là, nous nous installons sur les divans pour entamer la fameuse négociation. Le « négociateur » me rassure, un sourire en coin : je pourrais très bien payer… en nature. Une proposition aussi malhonnête qu’audacieuse, et bien sûr, impossible à ignorer.

Le coquin commence à me lécher et doigter en me déclarant son attirance pour les chattes. Il me fait rigoler, et contre ma nature je le laisse faire. Je suis toujours nerveuse et j’ai toujours des craintes concernant ma préparation, et surtout j’ai envie de pisser. Je n’ai pas le temps de réfléchir, car les deux « ouvriers » descendent les escaliers pour voir ce qu’il se passe. Ils ne sont même pas étonnés que leur « patron » s’amuser avec les clientes.

Je me retrouve rapidement à genoux avec deux belles queues dans les mains. Je suce les queues à tour de rôle et je commence (enfin) à me détendre. Je me lève pour tourner mes fesses vers un des mecs pendant que je continue à sucer l’autre. Celui derrière moi a une queue très grande et quand il me baise la chatte je ne le supporte presque pas. C’est excitant de me faire baiser de cette manière, mais je préfère le mettre dans mon cul. Je lui demande de me baiser le cul et il ne se laisse pas prier.

Au début de la pénétration je remarque que j’ai abusé de la douche anale, et que je suis irritée. Je m’énerve intérieurement sur moi-même. En même temps je sens que tout est ok et je peux me laisser aller aux plaisirs anaux sans crainte d’accident. Je me détends et j’apprécie les va-et-viens puissants. C’est excitant. J’adore. Les deux mecs adorent les mots crus et me demandent de dire que je suis une chienne. J’adore quand on m’entreprend de cette façon. Le troisième mec reste un peu à l’écart. Il se branle mais je remarque qu’il a de la peine à bander. Ce n’est pas grave, il nous rejoindra quand il sera prêt.

J’ai une grosse envie que l’on me fasse squirter et je demande que l’on me doigte. Normalement je n’aime pas trop les doigts, mais là c’est moi qui réclame et je finis par mouiller le sol. Les deux me baisent encore à tour de rôle la bouche et le cul. J’essaie de faire bander le troisième, mais je remarque qu’il n’y arrivera pas. Les deux autres en revanche sont déchaînés et ils ont envie de m’offrir du jus. « Tu veux que l’on t’arrose? » Je réponds: « Bien sûr que oui, quelle question !« . Le premier se branle pour gicler une énorme portion de sperme sur mon visage. Mon visage est couvert de sperme. Le deuxième ne se laisse pas prier et m’offre tout sur ma langue. Mmmmmh, c’est génial, direct, court et intense, comme j’adore.

Je m’écroule en rigolant. Je suis soulagée et trop contente. Je me refais une petite beauté à l’aide de lingettes humides et je bois un verre d’eau. Je me fais des soucis pour Yoshi et je vais voir ce qu’il fait. Bien évidemment, il n’est pas très content de se retrouver enfermé dans un garage inconnu. Je remonte pour discuter avec mes hôtes, et là, un des trois mecs, le propriétaire du chat, disparait pour revenir avec Yoshi. Il est allé le libérer. c’est trop mignon de sa part. Yoshi s’installe sur le divan et s’endort. Il a l’habitude de rester tranquille pendant mes rencontres.

Un des trois mecs a envie de recommencer, car il bande à nouveau. Les deux autres mecs fument, et du coup je ne suis pas sûr si on va recommencer. Sur un coup de tête je me laisse tenter et on reprend les jeux, et on me fait directement gicler. C’est bien reparti. Je le suce et un deuxième mec nous rejoint. C’est parti pour une nouvelle bonne baise avec même une bonne double pénétration. Le troisième mec arrive finalement à me baiser quand je me mets sur le dos. Seul un des trois coquins arrive à m’arroser le visage avec son sperme, et à nouveau quelle quantité ! Je rigole. Il a dû manger des œufs ce matin.  

Le mec est vraiment déchainé et tente à nouveau de me faire gicler en me doigtant. Je le stoppe et lui montre comment me faire gicler par le cul. Je sors du lubrifiant et je lui demande de me fister le cul. Je suis finalement trop contente que je me suis bien appliquée dans ma préparation anale, car là j’ai vraiment envie d’un fist pour le bouquet final de cette rencontre libertine. Le coquin a une grosse main et je ne tiens pas longtemps avant de lui demander de sortir de mon cul et de gicler en grosse fontaine. Ma fontaine est tellement grande qu’elle va sur Vincent et qu’elle noie le portable avec lequel il est en train de filmer. D’ailleurs cela arrête la vidéo nette à ce moment ! Le portable a survécu, et moi j’ai tout mouillé. Quel délire !

Je nettoie tout et même plus, avant de prendre un apéro mérité et discuter encore de tout et de rien, de faire connaissance avec les « ouvriers » du chantier et me remettre de mes émotions. J’ai adoré l’ambiance de cette rencontre qui m’a fait penser à mes aventures libertines il y a une quinzaine d’années, parfois ou souvent dans des endroits glauques ou insalubres, avec des personnes qui n’essaient pas de jouer à l’acteur, mais qui s’amusent tout simplement sans prise de tête.

Merci à ces trois copains qui m’ont offert ce moment formidable. Je sors de la maison avec du sperme dans mes cheveux et sous le menton, car je me suis juste sauvée avec une lingette humide.

C’est dans cet état d’euphorie que je pars promener Yoshi au bord du canal du Midi. J’ai ce sentiment délicieux au creux de l’estomac, celui qu’on ressent toujours après une rencontre réussie : un mélange de satisfaction, de joie et d’excitation.

Il y a aussi ce petit frisson secret, cette sensation d’avoir un détail coquin bien caché en moi, un secret que personne ne pourrait deviner en me voyant promener calmement avec mon petit chien.

Le film en 2 parties sera publié prochainement dans l’espace abonnés.

Adeline Lafouine