Jeudi, j’ai toute la journée à disposition pour premièrement travailler sur mon ordinateur (mettre à jour mon site, poster des photos sur mes réseaux sociaux, répondre aux messages) et deuxièmement me balader en ville, manger quelque chose, jouer la touriste. “Balader en ville” veut dire pour moi une grosse et longue promenade. Comme souvent dans une grande ville, je me déplace à pied pour découvrir la ville au plus près. Je marche à chaque fois entre quinze et vingt kilomètres. Le “pauvre” Yoshi a une sacrée condition physique depuis le temps 😉
Je marche depuis Bercy jusqu’à la brasserie “Le Brébant” se situant sur les Grands Boulevards. Je passe par les quais jusqu’à Notre-Dame, puis par Beaubourg, les Halles, la magnifique rue Montorgueil. Dans la brasserie je mange un délicieux tartare de thon et une tartelette au citron, faite maison. Miam. En général je préfère ne rien manger les jours de tournages, mais là je craque. En plus je tourne en soirée et c’est encore loin.
Pour rentrer à l’hôtel, on décide de prendre le métro. Yoshi est très excité et impressionné par cette nouveauté pour lui. Il adore découvrir de nouvelles choses.
De retour à l’hôtel, je dois (quand même) me dépêcher pour me préparer pour mon rendez-vous coquin du soir. Le compagnon de Pipa Chuby ainsi qu’un autre complice que je connais de ma dernière venue à Paris, vont s’occuper de moi. Pipa devait également venir passer la soirée avec nous, mais elle est fatiguée, car elle se remet toujours de son opération du coeur.
J’accueille les coquins en bas couture et petite robe, que je cache sous une grosse robe ample pour passer inaperçue quand je vais les récupérer l’un après l’autre à l’entrée de l’hôtel. Bon, “inaperçue” est un grand mot, car je reviens d’abord avec un mec blanc, puis avec un beau black. La personne à l’accueil a dû se faire pleins d’idées en m’observant 😉
Je sers un petit apéritif, on bavarde et heureusement mes invités ont envie de profiter rapidement de la soirée. Pendant qu’un des deux mecs est encore sous la douche, l’autre commence à m’allumer et à me tripoter, m’embrasser. Son complice d’un soir nous taquine en nous rejoignant. Comme ça on ne m’attend pas ?
Entre les mains des deux coquins, la situation devient vite chaude, même brûlante. Ils se montrent dominants dès les premiers instants. Le compagnon de Pipa Chuby me donne des fessées, m’étrangle, me force à avaler sa queue, me biffle, me prend par les cheveux. C’est une entrée en matière explosive.
Je m’occupe à tour de rôle des deux belles queues qui me font baver. Ils me baisent les deux pendant que je suce toujours l’autre queue. J’ai de la peine à supporter la queue du mec black dans ma chatte. Elle est trop grosse et surtout trop longue pour ma “pauvre” chatte. Je me débats, j’essaie de lui faire comprendre de ne pas aller trop profondément. Cela l’inspire justement de me baiser encore plus fortement et plus profondément.
Son complice me tient pendant que je me fais démonter. Je perds complètement le contrôle de la situation. C’est à la fois insupportable mais tellement excitant. J’adore ce genre de mecs dominants.
J’ai droit à un fist anal bien poussé, bien profond, bien long qui me fait gicler. J’inonde le divan à plusieurs reprises. Oups ! Après un long moment de baise intense et de perte totale de contrôle, de défonce incroyable du cul mais surtout aussi de ma chatte, je reçois le jus des deux mecs sur ma langue.
Je suis défaite, je ne sais presque plus où je suis. C’est absolument magique. C’est probablement un des moments les plus hard depuis très longtemps. Merci à vous deux d’avoir joué le jeu !
On finit la soirée autour d’un petit repas improvisé, des pizzas trop molles chauffées au micro-onde, des salades, des chips, des boissons softs. À la bonne franquette, pas vraiment gastronomique, mais très sympa.
Vendredi matin, je quitte Paris à 6h30, pour éviter les bouchons parisiens et arriver assez tôt en Bourgogne. Je vais encore rendre visite à ma belle-mère, puis je continue mon chemin en direction de la Suisse pour passer du temps avec mon fils et le reste de ma famille.
… Mais qu’est-ce qu’il fait froid en Suisse. Brrrrrrrr !
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