Paris, jour 2 – Gangbang hard
Le réveil fut dur ce matin, après la journée de la veille avec son tournage, une scène de cul et en plus la soirée absolument incroyable et intense, je suis crevée. Mais la nervosité prend rapidement le dessus et chasse la fatigue. Comme je suis à Paris, je profite pour passer à la “Factory”, le lieu où Z. (derrierrideau.com) organise ses événements. Il m’a aujourd’hui prévu un bukkake. Bon, je sais déjà que je ne pense pas vraiment que ça sera un pur bukkake. J’aime trop être baisée pour m’arrêter au bukkake, et mes complices d’un jour le savent aussi.
Je l’avais déjà dit dans un blog précédent mais j’aime à le répéter. Je viens toujours à mes frais et gracieusement à la Factory. Pour mon seul plaisir de m’amuser libertinement avec pleins de mecs. Comme je n’aime pas organiser des gangbangs – trop compliqués à organiser avec tous les désistements qu’il peut y avoir, la sécurité et lieu à prévoir -, je confie cette organisation à Z. qui m’offre un cadre classieux et sécurisé. Cela me permet également de faire la connaissance avec certains d’entre vous.
Je décide de mettre une tenue très sexe: corset en latex rouge, dessous et talons rouges, bas noirs. Un petit clin d’œil pour un fan qui me l’a demandé par message sur Onlyfans. Je suis toujours prête à faire plaisir à mes fans 😉
J’arrive beaucoup trop tôt sur place, car j’ai dû libérer la chambre d’hôtel assez tôt. Du coup je suis obligée de finir de me préparer sur place. Ce n’est pas un souci, vu que les participants vont arriver seulement dans une demi-heure. Mais c’est tout ce que je déteste. Je préfère arriver nickel, prête et d’attaquer tout de suite. Sinon je tourne en rond et je deviens de plus en plus nerveuse …
Dès que Z. m’amène à l’étage du dessous, où les participants m’attendent, je sens que ça ne sera pas un gangbang “normal” comme je l’ai attendu. J’avais déjà vécu des gangbangs hard chez Z., mais rarement d’une intensité pareille dès le début.
Je me fais quasiment jeter devant une meute. En tout cas c’est l’impression que j’ai. Je me fais démonter le cul et la gorge dans toutes les positions. Sur une banquette, attachée sur une sorte de table, ensuite sur le lit. Les participants sont nombreux, et un d’entre eux chauffe et motive les autres. Ils y vont sans pitié. Pour mon plus grand regret, je remarque vite que j’ai bien encaissé déjà la veille. Je me fais carrément exploser le cul et j’ai l’impression qu’un simple doigt me fait mal. Oh là là, mais quelle idée de se faire fister toute la soirée avant de passer chez Z. ? J’aurais dû le savoir …
Le “chauffeur de salle” parle de me fister et commence à me doigter. “Oh non, ça ne sera vraiment pas possible”, leur dis-je. Il me semble que les participants sont tous un peu déçus. Je suis vraiment désolée pour eux, mais franchement, avec autant de mecs et de queues, il est de tout de façon, même sans une veille intense, très compliqué d’encaisser en plus un fist. Ce n’est pas la même chose quand je m’amuse avec une personne et que celle-ci me procure à la fin d’une bonne partie de baise encore un fist.
Je continue d’encaisser. Je me fais baiser le cul, la gorge, tirer par les cheveux, me cracher dessus. Un des mecs me torture les seins, des autres me giflent. J’adore cette situation, où je perds le contrôle. Cela me fait carrément grimper au plafond. Malgré que je souffre de mon corps, je suis aux anges, car c’est exactement ce que je cherche. Je pense que mon passage chez Zavatrash était plus hard dans le contexte du bondage et des fessées et gifles que j’ai prises, mais aujourd’hui j’encaisse beaucoup plus au niveau du cul. Je crois que je n’ai jamais eu un gangbang si hard de ma vie.
À la fin, je regarde le participant qui voulait me fister dès le début et lui dis qu’il peut essayer. Il a déjà mis des gants et j’ai envie de tenter le coup. Finalement, sa main passe et il me fait un superbe fist. Je ne le supporte pas très longtemps, car … j’ai déjà dit que je souffre encore de la veille ? 😉
Finalement, les mecs me jouissent dessus. Je suis couverte de sperme. Je suis crevée, mais dès que je me lève, je me dis que j’aurais pu supporter quand même plus. J’ai souvent cette impression. Pendant l’acte je crois devoir mourir, et dès que ça s’arrête je regrette que j’étais une si petite nature …
Merci à tous les participants pour ce délire. Vous étiez formidable. La prochaine fois je ne vais RIEN faire la veille, promis 😉 La vidéo sera disponible prochainement.
Après ce moment de pures folies, je rentre directement au Cap d’Agde. La route me semble moins longue que lundi, et en plus il n’y a pas beaucoup de circulation. C’est super agréable de rouler. Je ne ressemble à plus rien, je ne suis pas maquillée, mes cheveux sont encore tout collants et j’ai mal partout, mais je suis super heureuse et épanouie. J’adore tellement ce sentiment “d’après”. C’est à devenir accro.
Sur la route, je m’arrête souvent pour promener Yoshi et à chaque occasion je m’amuse à faire quelques photos coquines 😉
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