LE FILM “GANGBANG DES HÉROÏNES AU CLUB LA CHRYSALIDE (AVEC HINATOU)” (1h09’13”) SERA PUBLIÉ VENDREDI 4 OCTOBRE 2024 DANS L’ESPACE ABONNÉS
Plus la soirée gangbang au Club La Chrysalide approche, plus je me sens nerveuse. Comme toujours, j’ai du mal à rester calme; je ressens une pression constante, même si ce n’est pas la première fois que je participe à une soirée gangbang, et encore moins dans ce club. Heureusement, cette fois-ci, je serai accompagnée par Hinatou. Bien que j’aime me retrouver seule, j’adore aussi partager ces moments avec mon amie, et sa présence me donnera un peu de “renfort”.
Dès le matin, impossible de dormir. L’idée de devoir courir avec Yoshi, me préparer, publier et répondre aux messages sur mes sites, sans oublier de faire ma valise, me stresse énormément. J’ai toujours cette peur de manquer de temps pour tout accomplir. Évidemment, je m’inquiétais pour rien. Vers 13h, je prends la route pour La Seyne-sur-Mer. En chemin, je commence à ressentir des douleurs au ventre. J’ai déjà eu cette réaction après un lavement: une sensation d’air emprisonné dans mes intestins, provoquant ballonnements et crampes. Bravo, me dis-je intérieurement, j’ai réussi à me compliquer la tâche, ce qui n’est vraiment pas idéal avant une soirée intense sur le plan sexuel.
Une fois arrivée à La Seyne-sur-Mer, j’ai un peu de temps devant moi. J’en profite pour faire une petite promenade et boire un thé, en espérant que cela m’aidera à soulager mes ballonnements.
J’ai décidé de profiter de mon séjour pour inviter un libertin dans ma chambre d’hôtel, histoire de passer un moment de détente. Même si j’ai encore des crampes, je sais que tout ira mieux une fois que je serai “en action”, et c’est exactement ce qui se passe. Dès que j’accueille mon invité, arrivé ponctuellement à 18h, je me sens tout de suite mieux. Je suis ravie de le revoir, car nous nous connaissons déjà et je l’apprécie beaucoup, bien que nous n’ayons jamais eu l’occasion de baiser ensemble.
La nervosité, la fatigue ou les deux prennent le dessus sur mon invité; il n’arrive pas à bander. J’essaie de le faire durcir avec tous mes moyens, mais rien à faire. Du coup, je lui demande de me faire un fisting et on réalise un bel épisode de mon “Fisting-challenge”. Malgré sa panne d’érection, j’ai passé un excellent moment, et surtout il m’a aidé à me détendre et me sentir prête pour la grosse soirée à venir.
Peu après 21h, je rejoins mon amie Hinatou au Club La Chrysalide. Elle est déjà installée, en train de savourer un apéritif et de grignoter une planche mixte. De mon côté, je ne peux rien avaler, et je me limite, pour tout le repas, à deux verres de Coca-Cola. Mes maux de ventre ont refait surface, et même si je n’ai pas l’habitude de ne rien manger avant une soirée intense, cette fois-ci, c’est impossible. Pourtant, je tiens à préciser que la cuisine de La Chrysalide est excellente. Vincent, mes amis, et les autres clients arrivés tôt pour profiter du menu se sont régalés.
Comme (presque) toujours, Yoshi m’accompagne ce soir. J’avais initialement prévu de le laisser au bureau pendant le repas, mais les filles de l’accueil me proposent gentiment de le garder. “Proposer gentiment” est un euphémisme: elles me supplient presque de le laisser avec elles. C’est tellement adorable de leur part, et Yoshi profite une fois de plus d’un traitement royal. Après le repas, je vais le récupérer, car pendant la soirée, il restera dans la même salle, derrière le bar. Il profite de chaque occasion pour se balader et saluer tout le monde, la queue frétillante. Les habitués le connaissent tous; Yoshi est devenu la véritable petite mascotte de La Chrysalide. 😉
Le thème de la soirée est “Superhéroïnes”, et j’ai décidé de jouer le jeu avec une sorte de déguisement de Wonder Woman. Ce n’est pas un costume complet; je l’ai improvisé avec un ensemble en résille bleu et quelques accessoires. À la maison, je trouvais que ça rendait plutôt bien. Mais ici, je suis la seule femme — la seule personne, d’ailleurs — à m’être habillée de manière spéciale, comme c’est souvent le cas lors des soirées à thème. J’ai un petit moment de regret, mais je choisis d’en rire, car, après tout, le ridicule ne tue pas !
Vers minuit et demi, nous obtenons enfin le feu vert pour commencer le gangbang. Le grand matelas rond est installé dans la salle du restaurant, et les chaises et tables ont été poussées contre les murs. Le club fait passer l’information aux clients, qui se rassemblent dans le couloir et s’équipent de masques ou de cagoules. Nous ne voyons pas combien d’hommes attendent, car Hinatou et moi patientons dans la salle transformée en baisodrome.
Le gérant du club filme le gangbang. Il commence par nous filmer avant de laisser entrer la foule. Un mec après l’autre entre dans la salle; j’en connais déjà certains, avec d’autres j’ai discuté dans la discothèque, et je les devine malgré leur masque à leurs habits ou leur posture. Hinatou et moi avons déjà bien rigolé ensemble et nous sommes d’excellente humeur. Nous continuons à rigoler et se taquiner quand nous nous retrouvons entourées des participants au gangbang et nous nous amusons à échanger avec eux. Je parle toujours beaucoup trop, et je me rends compte que trop de rigolades n’est peut être pas favorable pour une ambiance érotique. En même temps il me semble que c’est la bonne manière pour briser la glace et encourager les hommes qui nous entourent. J’agis simplement selon mon feeling et mon humeur. Je me sens heureuse de me retrouver ici, à quatre pattes, à côté d’Hinatou, avec autant d’hommes et de belles queues dressées autour de nous. Dès que je suce les premières queues, je suis détendue et surtout j’oublie mes crampes au ventre.
Je vois qu’Hinatou fait comme moi, elle est tout près de moi et suce des queues à la chaîne. Comme souvent, il y a des hommes qui ont les doigts baladeuses, mais j’arrive à les gérer. Je leur dis non pour la chatte, ok pour le cul, mais que je préfère de loin sentir des queues dans mes orifices. Le premier est prêt à me pénétrer, je me tourne vers lui, et là, il me baise directement le cul. C’est bon ça. J’encourage les hommes à baiser Hinatou aussi. C’est toujours quand le premier commence que c’est parti pour une bonne tournante.
L’ambiance est superbe, tout le monde semble de bonne humeur et tous sont respectueux, joueurs et attentifs. Il y a – comme toujours – deux ou trois participants qui monopolisent l’espace, et je suis obligée de leur dire de laisser aussi la place aux autres. L’idée d’un gangbang est justement de faire tourner, de ne pas monopoliser, de baiser quelques minutes avant de laisser sa place.
Certains mecs giclent après seulement quelques instants, pour la plupart dans nos bouches respectivement sur nos langues. Hinatou et moi partageons chaque giclée. Nous réussissons à rester très proches pendant tout le gangbang, et quand une de nous reçoit du jus sur la langue, nous nous rapprochons pour nous embrasser et partager le sperme. C’est super excitant comme situation. Nous nous faisons baiser le cul et la chatte – mais surtout le cul – et quand une de nous deux gémit plus fort car le mec la baise d’une façon particulièrement intense ou qu’il est vraiment bien doté par la nature, nous rigolons de ce fait et nous nous encourageons, surtout nous encourageons les hommes à aussi faire profiter l’autre de ce don de la nature. C’est joyeux et torride à la fois.
Combien d’hommes nous baisent, combien nous giclent dessus, je ne pourrais pas le dire. Nous ne voyons pas passer le temps. C’est seulement quand la foule diminue un peu que l’on se rend compte que ça fait bien plus qu’une heure qu’on se fait baiser non-stop. Nous annonçons que ce sont les dernières minutes pour profiter de nos chattes et de nos culs avant de finir en bukkake.
Finalement, la plupart des mecs ont déjà vidé leurs couilles, et il y a peut-être seulement quatre ou cinq hommes qui nous offrent encore leur jus à partager. C’est bien suffisant pour nous régaler. C’était un magnifique moment de partage et de délire.
Avant de passer sous la douche, j’échange encore quelques mots avec des participants. Hinatou me gronde en rigolant, car décidément je parle trop et elle doit m’attendre (impatiemment) pour aller se doucher.
Il est deux heures du matin, et nous terminons la soirée en discutant autour d’un verre. Lorsque je me couche à trois heures, je suis épuisée mais heureuse.
Je prolonge un peu le week-end: samedi, nous allons déjeuner à Sanary-sur-Mer avec Hinatou et son mari. C’est là qu’Hinatou me confie qu’elle est aussi courbaturée que moi. Cela me rassure de savoir que ce n’est pas juste dû à ma mauvaise condition physique 😉 Ils repartent dans l’après-midi, tandis que je vais passer la soirée et la nuit à Aix-en-Provence avec mes deux amours, Vincent et Yoshi, avant de rentrer dimanche soir.
C’était un week-end formidable. Merci au Club La Chrysalide pour l’organisation, merci à Hinatou pour sa complicité, et surtout, merci aux participants d’être venus si nombreux.
Les photos (26 / P-6261) du gangbang sont disponibles dans l’espace abonnés.
Découvre le teaser du film “Gangbang des Héroïnes au Club la Chrysalide (avec Hinatou)”