Mes récits érotiques du jeudi: Première prise au studio

Je tombe sur son annonce un peu par hasard. Un jeune homme cherche une première expérience devant la caméra. Il ne dit presque rien de lui, à part ça. Pas de détails superflus, juste cette petite phrase simple qui m’intrigue. Comme j’ai la soirée libre, je me dis que ce pourrait être l’occasion parfaite pour une rencontre dans mon studio. Cet endroit impressionne souvent mes invités, mais s’il veut être filmé, ça ne peut pas trop l’effrayer ou alors juste assez pour qu’il soit un peu nerveux.

J’hésite quelques minutes, puis je lui envoie un message direct. Ce soir, dans mon studio, si tu veux. Je lui donne l’adresse, le code du portail, et j’attends. Comme toujours dans ce genre de rendez-vous, je ne suis pas sûre qu’il viendra mais une petite heure plus tard, il m’écrit: ‘Je suis en bas’. J’appuie sur l’interphone, j’entends ses pas dans l’escalier, j’ouvre la porte pour l’accueillir.

Il est grand, mince, presque maigre, pas vraiment le genre de mec qui en impose au premier regard. Je me surprends à avoir un doute, mais son sourire est doux, franc et il dégage quelque chose de très sûr. Il est timide mais pas maladroit, réservé mais présent. Dès qu’il me dit bonjour, je sens qu’il a vraiment envie de vivre cette expérience.

Je l’installe dans le studio. La pièce est prête, les projecteurs sont allumés et le divan-lit attend dans un coin. Il regarde autour de lui, un peu impressionné mais pas perdu. On commence tranquillement par un verre d’eau, deux phrases pour se mettre à l’aise puis je le fais asseoir sur le divan pour une petite interview, histoire de lancer la caméra et d’avoir un point de départ. Ses mains tremblent un peu au début, mais sa voix est claire. Il dit qu’il veut essayer, qu’il est curieux, qu’il n’a pas de limites particulières. À mesure qu’il parle, je sens sa gêne tomber.

Quand je commence à le déshabiller, tout s’accélère. Je ne m’attendais pas à ça. Son sexe est impressionnant, pas tellement par la largeur, mais par la longueur. Une longueur qui dépasse la moyenne de ce que j’ai vu jusque-là. Il bande immédiatement, sans détour. Je suis surprise, excitée aussi. Mon regard change, mes mains aussi. J’ai envie de le découvrir, de le tester, de le savourer.

Je descends lentement sur lui. Le contact me fait frissonner. Je le prends dans ma bouche. Je l’accueille autant que je peux mais il est si long qu’il est impossible de le faire disparaître entièrement. Je sens ma gorge se tendre, mes yeux s’embuer, la salive couler. Je bave, je ris un peu en m’essuyant, mais je continue, parce que c’est excitant d’essayer, de voir jusqu’où je peux aller. Lui, il me laisse faire, il respire fort, il me guide parfois d’une main derrière la nuque. Chaque mouvement est un défi délicieux.

Je décide de changer. Je m’assois sur lui, doucement, en me laissant guider par la gravité. Je sens son sexe glisser en moi, entrer, occuper tout l’espace. C’est une sensation énorme, presque trop, mais tellement bonne. Quand il est en moi, je sens la pointe appuyer tout au fond, comme s’il touchait un endroit que personne n’avait jamais atteint. Je prends mon temps, je bouge à mon rythme, je me laisse aller. Je savoure cette plénitude qui me fait perdre le fil.

Puis je le guide vers mon autre plaisir. Je le fais glisser plus bas, et quand il s’enfonce entièrement dans mon cul, je n’en reviens pas moi-même. Il disparaît complètement, comme si mon corps s’ouvrait jusqu’au ventre. La sensation est intense, profonde, incroyable. Je me cambre, je crie un peu, puis je ris, surprise de l’effet qu’il a sur moi. Je joue avec lui, je bouge, je teste mes limites. J’adore.

Il prend aussi les devants. À quatre pattes sur le lit, je le sens derrière moi, puissant et patient à la fois. Il me pénètre longuement, sans relâcher. Chaque coup est comme une vague qui traverse tout mon corps. Je suis trempée, je sens mes muscles vibrer. Il ne s’arrête jamais, il tient, il garde sa vigueur sans faiblir. Ça m’excite encore plus.

Par moments, je le reprends dans ma bouche. Sa longueur est fascinante. J’aime le voir sortir et entrer, briller de ma salive, jouer avec ma gorge. Ça me rend folle. Lui aussi me lèche, avec la même application, comme s’il voulait me rendre tout ce que je lui donne. C’est une danse, un échange, un jeu qui dure.

Je me rends compte que j’ai rarement eu un partenaire aussi constant, aussi sûr, malgré son air timide. Il est là, pleinement, sans se précipiter, sans hésiter. Il donne tout, et moi je prends tout. Je mouille, je tremble, je me perds.

Quand enfin il se laisse aller, c’est puissant. Son corps entier se tend, ses mains se crispent sur mes hanches, et moi je continue, parce que j’ai encore envie. Je me caresse, je jouis à mon tour, une explosion qui me laisse vidée et comblée.

On finit sous la douche. La vapeur, l’eau chaude sur ma peau encore brûlante, son corps à côté du mien. On rit, on se lave, on se détend, puis un verre de champagne pour clore la soirée, comme un petit rituel chic après la tempête.

En le voyant partir, je me dis que je n’oublierai pas cette rencontre, pas seulement pour la performance mais pour ce mélange unique entre sa timidité, sa douceur, et cette longueur hors du commun qui a transformé mon corps en terrain nouveau.

J’ai très envie déjà de le revoir…