Mes récits érotiques du jeudi: Porno chic

De retour à la maison après une journée de travail, je file sous la douche. L’eau chaude glisse sur ma peau, efface la fatigue, rince la journée, les pensées. Je ferme les yeux, laisse couler un long filet d’eau sur ma nuque, sur ma poitrine, sur mes cuisses. La vapeur remplit la salle de bain. J’ai l’impression de renaître un peu après une longue journée pénible. Quand je sors de la douche, la buée a envahi le miroir et je dois tracer de la main un cercle pour voir mon reflet. Mes joues ont repris des couleurs, mes lèvres aussi. Je me coiffe lentement, je prends mon temps. J’aime ces moments où l’on se prépare sans se presser, où l’on retrouve son propre rythme, où l’on sent la peau vibrer d’une promesse à venir.

Ce soir, j’ai un rendez-vous avec un ami libertin. Un message simple, presque anodin, est arrivé ce matin: ‘Porno chic’, deux mots et rien d’autre, mais deux mots qui m’ont immédiatement fait sourire. Je sais exactement ce que cela veut dire. Ni vulgarité, ni excès, juste le jeu subtil de la provocation et du raffinement.

Je fouille dans mon armoire, en prenant soin de choisir chaque vêtement avec soin. Le satin noir et rouge pour la profondeur, la dentelle pour la lumière, la couture noire du bas pour la ligne. Un corsage ajusté, un porte-jarretelles, un petit haut transparent. Je choisis mes bas couleur chair, qui laissent deviner plus qu’ils ne montrent. Les talons hauts, rouges et noirs, ajoutent ce détail presque cérémonial, et puis les gants, longs, en satin, qui changent la manière de bouger les mains.

Je me maquille légèrement avec un trait noir au ras des cils, une touche de mascara, un rouge franc sur les lèvres. Dans le miroir, je retrouve cette femme que j’aime voir parfois apparaître, celle qui n’a peur de rien, qui ne s’excuse pas d’être désirable, qui s’amuse avec l’image que le monde se fait d’elle. L’art du corps, du regard, de la scène. Le porno chic, c’est tout ça.

J’enfile par-dessus une robe simple, presque sage. Extérieurement, rien ne trahit ce que je porte dessous. C’est mon secret, ma petite mise en scène intérieure. Quand je monte dans la voiture, la nuit s’installe doucement. L’air du soir s’invite à travers la fenêtre ouverte. Il glisse sur mes jambes, s’infiltre sous le tissu, m’arrache un frisson. Je souris toute seule. J’ai cette impression délicieuse d’être entre deux mondes, la femme du quotidien et celle qui, dans quelques minutes, va entrer dans une autre lumière.

L’hôtel est élégant, sans ostentation. Je monte les marches lentement, savourant le bruit de mes talons sur la moquette épaisse. À chaque étage, mon cœur bat un peu plus vite. Douzième, et dernier étage. Je respire un grand coup avant de frapper à la porte.

Quand il ouvre, je sens déjà la chaleur du lieu. La lumière est douce, dorée, tamisée. Le champagne attend sur la table. L’air sent un peu le cuir et le parfum sec des hôtels bien tenus. Il me regarde longtemps, sans rien dire. Je sens son regard descendre, s’arrêter, remonter. C’est un silence avec pleins de choses qu’on comprend sans les dire.

Je pose mon sac, il m’invite à m’asseoir. Vincent, tout à l’heure, m’avait glissé en riant: ‘Commence doucement et savoure‘. Alors je fais exactement ça. Je ris un peu, je fais tourner le verre entre mes doigts. mon hôte coquin est également impatient. Il me touche, m’embrasse. C’est super excitant de se sentir vraiment sexy et d’être si proche de lui. Pendant qu’il m’embrasse mon corps, je suis penchée près de la fenêtre, et je regarde dehors.

Le coquin ne me laisse pas l’occasion de m’ennuyer. Je suis penchée en avant. Je sors un peu mes fesses, que je bouge coquinement. Cela fait son effet, et il s’approche encore plus pour me caresser mes fesses, me les masser entre ses mains chaudes. Je me penche carrément en avant, la tête presque par terre, et j’écarte mes cuisses. Il penche son visage entre mes fesses et je sens sa langue humide et chaude glisser sur mon anus. C’est trop bon et excitant de le sentir lécher mon petit trou, de sentir sa langue glisser partout et le bout de sa langue qui s’enfonce un peu dedans. Il continue à me lécher les lèvres de ma chatte, et me caresse aussi avec son doigt. C’est agréable, et je sens la chaleur monter entre mes jambes.

Je me retourne pour l’embrasser et le caresser à travers son pantalon. Je sens déjà sa belle érection. Je lui déboutonne sa chemise et son pantalon, pour continuer à lui procurer du plaisir sur la peau. Je commence à déguster sa queue, de la sucer et surtout de la prendre entièrement dans ma bouche. Sa queue me fait envie de la sentir en moi, mais je vais d’abord m’occuper un peu de lui, et je lui demande de se coucher sur le dos. Je continue de le sucer, de lui lécher le cul et les couilles comme une bonne chienne. Je laisse couler ma bave que j’étale sur sa belle queue en érection. Quand je tourne mes fesses vers lui pendant que je m’occupe de lui, il me masse bien fortement les fesses et me donne des fessées et des petites claques sur la chatte. J’adore. C’est brûlant et me chauffe la peau. Ça m’excite énormément.

Mon hôte me tourne sur le dos, et je prends mes jambes vers moi pour lui offrir un accès libre à mes orifices. J’adore la position quand je tire les genoux derrière mes épaules. Cela offre une vue imprenable sur ma chatte et mon cul. Je trouve ça très excitant de pouvoir regarder la queue entrer dans mes trous mouillés et me baiser une fois le cul, une fois la chatte. Avec un mouvement direct, le coquin vise sans détour mon cul et me le remplit avec des coups bien forts et profonds. Ça me coupe presque le souffle. Après ces préliminaires excitants, je suis sensible et accueillante, et c’est une sensation très forte de me faire prendre si brusquement. J’adore. Il me défonce mon petit trou et change entre la chatte et le cul, m’ouvre bien et me fait mouiller encore plus. Il me baise encore et encore, et reste surtout dans le cul. C’est tellement excitant que ça me fait mouiller la chatte sans la toucher.

Je me tourne à quatre pattes, et là il continue à me baiser, surtout la chatte. Je le sens bien bouger en moi, se frotter contre ma peau et m’exciter toujours plus. Il me demande où j’aimerais son sperme. Sur ma langue? Dans mon cul ou dans ma chatte? Je lui réponds que j’aimerais bien qu’il jouisse dans ma chatte car j’aime voir couler le sperme. L’idée de sentir son sperme en moi me fait monter encore mon excitation. Je l’encourage ‘remplis-moi ma chatte, laisse couler ton jus, fais-moi plaisir’. Je sens sa queue grandir et se gonfler juste avant l’éjaculation, et pour finir je le sens jouir. Ma chatte se remplit de sperme bien chaud. Quand il se retire, j’ouvre ma chatte avec un doigt pour laisser couler le petit ruisseau de plaisir. Je trempe un doigt dans ma chatte pour récupérer quelques gouttes de sperme et lécher mon doigt par la suite. Mmmh, c’est délicieux.

Puis vient le calme, le vrai. La conversation reprend, simple, paisible. Le monde revient doucement. Je me sens bien, ancrée, présente. Avant de partir, je me lève, ramasse mes affaires, puis je me regarde dans le miroir du couloir. Le rouge de mes lèvres a un peu coulé, mes cheveux sont en bataille, la dentelle dépasse, mais je me trouve belle. Pas belle comme sur une photo, non, juste belle de l’intérieur, belle d’avoir vécu, d’avoir osé, d’avoir ressenti.

Le porno chic, finalement, ce n’est pas une tenue, mais une manière d’être, intense, libre, vivante. Tandis que je referme la porte derrière moi, je sens encore le satin sur ma peau comme si mon corps, lui, refusait de tourner la page.

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