Folies en Allemagne: week-end festif chez Puzzyfun, en mots et en images (5018-1)
Après un premier passage en 2020 et un retour en 2021, l’équipe de Puzzyfun me relance avec insistance pour que je revienne. Soyons honnête: Gelsenkirchen, c’est loin, très loin de chez moi. Alors, j’y vais ou j’y vais pas ? Les souvenirs de ces moments intenses me reviennent en tête, et je me laisse convaincre. C’est décidé, je repars pour l’aventure. Pour couper la route, je fais une halte en Bourgogne chez ma belle-mère, histoire de rendre le voyage moins long.
Vendredi, après ce break familial, j’arrive en soirée à Gelsenkirchen, près de Cologne. Je pose mes valises à l’hôtel et file dans un restaurant italien. Mais pas question de me lâcher complètement: avec plusieurs tournages en vue en 24 heures, je surveille tout ce que j’avale. Un demi-plaisir, disons, entre la gourmandise et la discipline. Samedi, même topo. Impossible de me détendre avant que les choses sérieuses ne commencent. J’en profite pour flâner dans quelques boutiques de Gelsenkirchen et manger une soupe à midi, mais ma tête est déjà ailleurs. L’excitation monte, l’adrénaline aussi.
Car c’est le soir que tout se joue: des tournages de gangbang dans un studio aménagé dans un appartement discret, avec 11 participants, tous amateurs passionnés. Le concept de Puzzyfun? Unique en son genre. Des mecs fans de sexe hard qui financent eux-mêmes leurs productions porno, invitent des actrices pros et jouent les hardeurs. Résultat: une ambiance électrique, sans filtre, où tout le monde est là pour s’amuser.
L’accueil est hyper chaleureux. Vincent et Yoshi ne sont pas juste tolérés, ils sont accueillis à bras ouverts, comme faisant partie de la bande Puzzyfun. On discute, je me prépare – en vrai, je suis prête depuis ce matin – et le premier gangbang met tout le monde dans le bain. Fist, gangbang, beaucoup de creampies. Les Allemands en raffolent, et l’ambiance est aussi spermeuse que festive !
Côté santé, tout est carré: tests rapides pour les IST à l’arrivée, résultats instantanés, zéro stress. Sécurité d’abord, plaisir ensuite.
Après ce premier round intense, une douche rapide pour tout le monde, et direction la cuisine. Oui, la cuisine, parce que baiser, ça donne faim. Les allemands sortent l’artillerie lourde: saucisses, jambons, salades de pommes de terre, pain, fromage, et j’en passe. Un vrai festin pour reprendre des forces. La première fois que j’ai vu ce banquet improvisé, j’ai éclaté de rire. Mais franchement, ça leur va tellement bien. C’est à la bonne franquette, dans l’esprit des bons vivants: vivons bien, baisons bien, mangeons bien !
Pas de bière alcoolisée ici, par contre. Que du sans-alcool pour garder la forme. Parce que l’alcool ramollit les performances, et la troupe a ses règles: on reste au top pour la suite. Cette pause gourmande et conviviale, c’est le parfait interlude avant de remettre le couvert.
Et c’est reparti pour un deuxième gangbang, avec les 11 participants toujours aussi chauds. Ça baise, ça gicle, c’est juteux à souhait. Quand je rentre à l’hôtel vers minuit, je suis épuisée mais comblée. Quelle soirée mémorable.
Dimanche, midi, c’est reparti. Toute la matinée, je me suis préparée, mais comme je n’ai presque rien avalé depuis la veille, mes intestins sont vides, et la douche anale se passe en mode express. J’ai le temps de sortir Yoshi, de boucler ma valise et d’organiser mon départ, car après les tournages de cet après-midi, je file directement en France.
À midi, j’arrive au studio et je découvre une ambiance ultra-détendue. Les mecs du jour? Zéro stress. Ils ont dormi sur place et viennent juste de finir leur petit-déjeuner. Pour ma part je suis comme toujours (un peu) stressée, pressée de commencer. La fatigue et la faim se font sentir. Ultra-regardante sur ma propreté, je décline poliment le croissant qu’on me propose. J’ai apporté mes propres petits pains et du chocolat mais ça, c’est pour après les scènes.
Petite parenthèse pour ceux qui ne connaissent pas: en Suisse et en Allemagne, les petits pains, c’est une institution. Des mini-pains en tout genre – blancs, complets, aux graines, façon bretzel – hyper bons, super pratiques. Au sud de la France, ça me manque car on n’en trouve nulle part.
Je commence à craindre de m’effondrer de fatigue. Je glisse ça discrètement, et vers 13h les cinq mecs sont (enfin) prêts. C’est parti pour une scène complètement folle. L’un des gars a apporté une batte de baseball énorme. On décide de s’en servir pour lancer les hostilités, ou plutôt pour préparer mon cul. Ça fait son effet. Ça me booste, me donne une pêche d’enfer. Sans transition, on enchaîne sur du fisting. Les mecs me font littéralement exploser, je gicle en fontaine sous leurs poings experts. Pas une seconde de répit et ça part en baise hardcore. Je me fais enculer, je suce à tour de rôle, leurs queues bien raides rien que pour moi.
Le sperme fuse de partout, sur ma langue, dans mon cul, dans et sur ma chatte. Mélangé à mon jus, ça dégouline à n’en plus finir. Le matelas? Complètement noyé. RIP!
Après cette session explosive, je file sous la douche pour me refaire une beauté. Et ensuite, devinez où on se retrouve? À la cuisine, évidemment. Un des mecs se concocte un sandwich au jambon XXL, pendant qu’un autre sort une poêle pour faire griller des piments verts. Je rigole intérieurement. On dirait un pique-nique improvisé au milieu d’un studio porno. Cette ambiance délirante, c’est tout eux. Du coup, je craque enfin et je dévore mon croissant et un carré de chocolat. Un pur moment de bonheur, et pas de panique mon cul reste nickel pour la dernière scène.
Et quelle scène. On passe (encore) à un niveau supérieur. Je commence par chauffer l’ambiance avec mon gode dragon XXL de chez JohnThomasToys, un monstre qui fait son effet. Les mecs, toujours en pleine forme, se joignent à moi, prêts à baiser et à jouir mais cette fois ils ont une envie bien précise: pisser. Ils ont bu des litres d’eau tout l’après-midi pour l’occasion. Je m’installe dans une piscine noire montée exprès pour la scène. Le coquin à la batte de baseball frappe encore. Il a apporté un plug ‘tunnel’. Ce plug possède une ouverture parfaite pour me remplir le cul de pisse. C’est une véritable douche dorée dans mon cul, sur mon visage, dans ma bouche. Je joue le jeu à fond, m’amusant avec une gamelle de chienne, buvant et renversant le liquide sur moi. Quelle finale humide, perverse, et totalement jouissive.
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Découvre le teaser du film ‘Gangbang et pissing chez Puzzyfun’
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Pendant tout le week-end, Vincent est resté à la cuisine avec Yoshi. Dès que Vincent entend que la dernière scène est bouclée, il laisse sortir Yoshi de la cuisine, qui cavale dans le studio, libre comme l’air. Et là, le meilleur moment: ce petit malin me voit, encore dans la piscine, rigoler avec les acteurs, et il doit se dire: ‘Cool, maman fait piscine, je veux jouer aussi !‘. D’un bond, il saute… pas dans l’eau, mais dans la pisse. Je le sors vite de la piscine, mais il revient tout excité, prêt à barboter avec moi. Tout le monde explose de rire devant ce spectacle. Quel coquin. Je prends donc la dernière douche du tournage avec Yoshi, pour un nettoyage en duo aussi hilarant que mémorable.
Sur le chemin direction la France, je ne suis même pas trop fatiguée, car je suis toujours sur mon nuage. C’est comme un kick d’adrénaline. On arrive vers 20 heures à Metz pour passer la nuit. C’est dans le bistrot très sympathique et typiquement français que j’arrive enfin à profiter, à bien manger, et me détendre.
Le lendemain je suis heureuse d’arriver au Cap d’Agde après (encore) huit heures de route, mais la tête pleine d’étoiles. Merci à tout ce qui ont participé à cette aventure. Je reviens quand?
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