J’ai envie de m’offrir une semaine complètement folle avant les fêtes, et elle a carrément été déjantée !
Dimanche, je prends la route en direction de Paris, avec une halte au Mont-Dore pour couper le trajet. Je ne connais pas du tout cette région, et faire la route en voiture est l’occasion parfaite pour ne pas faire les huit heures de route entre le Cap d’Agde et Paris d’un seul coup. En arrivant dans la région je m’arrête au lac de Chambon, un endroit absolument idyllique. C’est une vraie autoroute touristique. Tout le monde a décidé de profiter du beau temps pour se ressourcer. Le monde ne me dérange pas du tout, au contraire. Je profite juste du cadre dans les montagneux, sans voiture. Yoshi est aux anges.
Auprès cette balade régénératrice je fais encore une demi-heure de voiture pour aller à Mont-Dore, un village qui est en réalité une station alpine avec pistes et remontées mécaniques. La région me rappelle un peu la Suisse avec ses chalets et ses sapins mais en version… pittoresque, plus brute et moins soignée. Cela reste très joli, mais pas de neige dans la station, donc pas de touristes non plus.
Dans l’hôtel où je loge, seules deux chambres sont occupées. Tout est fermé autour, et même le repas du soir au restaurant de l’hôtel fait penser au film “Shining”. Il y a juste deux tables dans une immense salle prévue pour accueillir beaucoup de monde.
Le lendemain matin je prends la route en direction de Paris, où j’arrive dans l’après-midi. Rien de prévu ce jour-là. Comme je loge dans le quartier de Bercy-Village, je fais une longue marche jusqu’à Notre-Dame en longeant la Seine. Je mange dans un brasserie bistronomique que j’aime beaucoup, puis retour à pied. Ça fait longtemps que je n’ai plus vraiment vu Paris en mode touristique. D’habitude, je cours d’un rendez-vous libertin à l’autre. Il faudra vraiment que je prenne le temps, un jour, de revoir la tour Eiffel.
Mardi, c’est une journée très, très intense qui s’annonce. Je me lève de bonne heure pour me préparer pour le gangbang de midi chez Derrierelerideau.fr. Je suis extrêmement nerveuse comme toujours. Je ne crois pas que je réussirai un jour à vivre ça tranquillement. Pour ce gangbang, j’ai prévu un costume de Mère Noël, et pour changer de scénario je vais commencer d’abord en solo avec mon gros gode rouge.
En arrivant sur place je me change dans un sublime atelier photo, un loft magnifique, parfaitement adapté à ce genre de délires, avec un énorme matelas au centre de la pièce. Je flippe, je suis ultra tendue.
À midi pile, il n’y a que cinq ou six mecs sur place. Je demande à Z. si on commence en pensant que l’on serait en petit comité. Il rigole et me répond que c’est comme je veux. Je m’installe pour mon petit show, et pendant celui-ci la salle se remplit. Finalement, il y aura… 27 participants.
Dès le début du gangbang je demande que l’on évite de me tirer les cheveux, car avec l’âge ceux-ci repoussent moins vite, et retrouver des poignées entières dans la douche après certaines rencontres me fait peur. Ce n’est pas l’envie qui manque, car j’ai toujours adoré que l’on me tire les cheveux, mais j’aimerais garder ma chevelure encore quelques années. Je suis sûre que les femmes de mon âge comprendront…
Dès la fin de mon petit show avec mon gros gode, je décide que j’ai envie de vraies queues. L’un des mecs me prend directement par la tête et me demande d’ouvrir la bouche. Je vois qu’il s’apprête à me cracher dedans. Feu rouge.
J’aime les crachats quand l’ambiance s’y prête, quand j’encaisse fort, quand la domination me fait perdre le contrôle et m’emmène dans cet état où tout devient possible, mais pas comme ça, sans préparation. Le gangbang vient de commencer, il n’y a pas encore d’ambiance. Je l’arrête donc immédiatement et lui dit qu’il n’y aura pas de crachat aujourd’hui.
« Tu n’as donc pas envie de hard ? » me demande-t-il. Bien sûr que si, énormément mais le “hard”, ça ne se résume pas à tirer les cheveux ou à cracher. Je leur dis: “Concentrez-vous sur la baise, les fessées, l’intensité, et je ne serai pas déçue“.
La suite sera à la hauteur de mes attentes. Je prends mon pied avec une intensité rare. Et pour finir en apothéose, j’ai même droit à un fisting qui me fait gicler en énorme fontaine, un feu d’artifice final absolument génial.
Un immense MERCI à tous les participants, très joueurs, respectueux et motivés de ce premier gangbang de cette semaine de folieS.
Découvre le teaser du film ‘Gangbang de Noël chez Derrière le rideau’
Je rentre à l’hôtel et me demande comment je vais trouver la motivation pour le deuxième gangbang de la journée, à 18 heures. Comme toujours après un gangbang, je suis épuisée, vidée. En plus, j’ai un petit souci. Apparemment les lavements répétés et les pénétrations sans fin m’ont provoqué une petite diarrhée, m’obligeant à continuer les lavements. Résultat, une belle irritation en prime. Est-ce que je vais encore pouvoir encaisser ce soir ? Le temps file à une vitesse folle.
Pile à 18 heures, me voilà de retour dans le magnifique loft de Z. Je ne l’avais encore jamais vu de nuit. On dirait un autre endroit. Les lumières du soir le rendent encore + superbe. Je n’ai même pas le temps de penser au gangbang, que je suis déjà en train de dire bonjour aux premiers arrivants.
Cette fois, je suis en lingerie noire et je ne fais pas d’intro avec un sextoy. Ce sera un bon gangbang « classique » avec une quinzaine de participants. Le groupe est plus calme que celui du midi, mais tout aussi motivé. Je savoure dès la première minute. Ils sont tous incroyablement bien éduqués, c’en est presque drôle. On dirait qu’ils font la queue pour venir se faire sucer, puis pour me baiser. Un vrai casting de « premiers de la classe », si tu vois ce que je veux dire. Et pourtant pas un seul qui ne soit ni mignon, ni bon baiseur.
Toutes mes craintes concernant mon cul s’estompent dès la première pénétration. Je me sens bien, l’excitation prend le dessus. C’est un gangbang dans les règles de l’art, et tout le monde se retient pour l’éjaculation. D’habitude, il y en a toujours un qui jouit discrètement ici ou là, dans la bouche ou une capote mais ce soir, non. Tous se retiennent pour la fin. Je le remarque, et Vincent me le confirme quand l’ambiance se calme et que les mecs attendent sagement ce moment.
Je les rassemble autour de moi et on termine par un parfait bukkake. J’éclate de rire et je leur dis que je n’ai jamais eu une classe d’élèves aussi disciplinée. On dirait qu’ils ont tous lu le manuel du parfait gangbangueur. C’était superbe, et c’est la première fois que j’assure un deuxième round d’une telle intensité la même journée. Ça me donne l’impression de flotter au-dessus du sol.
Je rentre rapidement à l’hôtel pour me refaire une beauté à la va-vite, puis direction le restaurant en amoureux. À 99 % au restaurant, je prends une entrée, puis une seconde entrée en guise de plat, tout simplement parce que je les préfère. Je ne suis pas une fan de frites, de purée ou d’accompagnements classiques. J’adore les petits plaisirs comme le foie gras, la soupe à l’oignon, les salades, les tartares de poisson, et tout ce qui se trouve dans les entrées.
Mercredi après une bonne nuit de sommeil, je me réveille fatiguée mais avec pleins d’étoiles dans les yeux. Je suis heureuse de ne pas avoir de rencontre libertine aujourd’hui. Je quitte l’hôtel pour Dijon. Petite promenade rapide, repos dans la chambre, puis dîner au restaurant de l’hôtel.
Je précise que pendant tous ces jours de déplacement et d’événements, je continue à faire tourner mes sites entre les publications, les réponses aux messages, la mise à jour du calendrier de l’Avent. Tout ça ne se fait pas tout seul, et je ne peux pas disparaître une semaine sans me connecter à l’ordinateur. C’est fatigant, mais c’est le jeu quand on n’a personne pour gérer ses réseaux à sa place. Il faut publier pour rester visible, et même si ça semble simple quand tu me suis, ça ne l’est pas tant que ça, car il faut réfléchir, créer des images, les sélectionner, les retoucher. Je rigole souvent de travers quand je lis les textes sur les réseaux de mes copines qui se plaignent soi-disant, alors qu’elles ne s’occupent pas de leurs réseaux ni de répondre aux messages.
Et puis il y a Yoshi, qui réclame ses promenades, ses sorties pipi. Il m’est impossible de simplement m’écrouler dans une chambre d’hôtel. Bref après 4 jours de déplacement, la fatigue commence à se faire sentir… et la semaine est loin d’être terminée.
Jeudi, ça continue. Réveil tôt pour me préparer pour la soirée. Pourquoi déjà le matin ? Parce qu’ensuite je suis sur la route, et préparer mon cul pour du hard demande du temps. Ce soir, ce n’est pas seulement de la baise anale, mais aussi du fisting au minimum. Un bon vidage des intestins s’impose donc. Sur la route, ma journée est calculé entre le temps, les pauses, la nourriture.
Je suis un phénomène à ce niveau-là. Je suis très gourmande, mais en déplacement et lors des événements je me contrôle sans aucun problème. C’est la pression et la tension du moment qui me permettent de tenir sans même y penser. Je connais trop bien mon corps, et je regretterais trop de faire n’importe quoi.
J’ai rendez-vous à 19 heures dans la cave de Maître MZL. Je le connais depuis un certain temps et je sais qu’il aime l’anal, le hard. Il m’a prévenue que ce soir, il a envie de trash, de très trash. J’ai déjà une petite idée, et je ne suis donc pas étonnée de découvrir qu’il a prévu des bouteilles de lait et de crème chantilly. Ça me met un petit coup de pression, car j’ai toujours peur de ne pas être à la hauteur.
Mes craintes étaient totalement infondées, car dès que le jeu commence, je me détends et je suis dans mon élément. J’aime la manière dont il joue avec moi, de me pousser dans mes retranchements et de me mettre dans un état complètement souillée. Je te laisse imaginer comment. Arrivée bien coiffée et propre, je finis couverte de lait, de crème et de bien d’autres liquides encore. Tu découvriras tout ça en début d’année en vidéo.
Après ça j’ai du mal à me nettoyer. Le lait ça sent fort, mes cheveux collent. J’essaie de refaire mon maquillage, mais c’est plutôt raté car je n’ai pas tous mes accessoires avec moi et je n’ai pas le temps nécessaire. Mais, on s’en fout car pour la deuxième partie, les participants au gangbang ne s’attendent pas à ce que je sois au top version glamour, mais que je sois joueuse et ouverte comme toujours.
On déménage de l’appartement où nous avons fait les cochonneries – entre-temps plus ou moins nettoyé – vers la cave de MZL. Le carrelage de l’appartement était plus pratique pour jouer avec du lait que sur les tapis de la cave.
En attendant les invités du deuxième round, on discute pendant que les invités arrivent un par un. Je suis un peu plus détendue après la première partie.
C’est un superbe gangbang intense et jouissif. Il y a une connaissance présente que j’ai énormément de plaisir à revoir, Monsieur Slip-Canard, qui met une ambiance incroyable avec son énergie et son envie de dominer. J’adore sa participation, car sans lui ce serait beaucoup plus calme. Tout le monde est bon baiseur et joueur, mais plus réservé que lui. Alors pour l’occasion, je fais une dédicace à Mister Canard et un grand merci.
Je ne m’arrête plus. Combien de temps suis-je restée à quatre pattes à profiter de ces messieurs ? Je ne sais plus. Au final, MZL m’offre une bonne douche dorée directement sur le matelas. Décidément, j’aurai vraiment tout eu ce soir, et je finis bien crade et souillée.
Je me rince avant de rejoindre tout le monde pour discuter encore un long moment. Je suis sur mon petit nuage et, dans le feu de l’action, je quitte les lieux en oubliant mes talons, mon soutien-gorge et mon lubrifiant. Pas grave. Il faudra que je revienne les chercher.
Vendredi, je me réveille assez détendue. C’est un peu comme si je me disais que comme j’ai assuré mardi et jeudi, plus grand-chose ne peut gâcher ma semaine de gangbang. Du coup, sur la route entre Lyon et La Seyne-sur-Mer je ne stresse pas vraiment, et peu après midi on passe sur l’autoroute à Aix-en-Provence et, sur un coup de tête, je propose à Vincent de nous arrêter pour aller manger. Il n’en revient pas, car ce qui l’énerve le plus pendant mes journées de tournage et de grosses rencontres, c’est que je ne mange jamais. Il me dit souvent que c’est dommage de ne pas profiter de nos déplacements pour goûter la cuisine locale. Je le comprends à 200 %, mais en même temps j’aime garder le contrôle de mon corps pour les événements.
Aujourd’hui j’ai comme un lâcher-prise. Je n’en peux plus. Je suis sous contrôle alimentaire depuis dimanche dernier et j’ai juste envie de me faire plaisir. Je me dis qu’au pire je ferai mon premier gangbang “100 % vaginal” ce soir. À Aix-en-Provence, on s’installe dans un superbe bistrot italien gourmand et chic, La Rotonde, où on commande des pizzas. Ce n’est pas très raisonnable pour moi, mais qu’est-ce que ça fait du bien.
Après un tour shopping dans la ville, on repart pour la Seyne-sur-Mer, où je retrouve mon amie Hinatou à l’hôtel. On va boire l’apéro, puis manger au restaurant de l’hôtel. Pour moi ce soir c’est retour au régime gangbang, donc zéro alcool et zéro repas. Il ne faut pas exagérer, car ma pizza de midi était totalement hors norme pour une journée pareille. Finalement, elle n’aura pas d’impact sur la soirée.
Je me prépare tranquillement et j’arrive au club vers 22 h 30. Avec Hinatou on prend le temps de se changer, de discuter avec le gérant et de faire un tour du côté de la discothèque pour faire connaissance des mecs présents. Vers minuit, nous dansons toujours et sur un coup de tête je propose à Hinatou de monter danser sur le bar, histoire de nous montrer encore + et d’annoncer gentiment la partie gangbang.
Le club s’est rempli. Là, grosse surprise. Le Père Noël débarque pour nous tenir compagnie sur le bar. Un superbe Père Noël, parfait, avec une barbe extraordinaire. Kevin, le gérant, nous révèle ensuite qu’il s’agit d’un vrai Père Noël. C’est son métier et il est engagé pour des apparitions pendant les fêtes. C’est génial. On danse avec lui sur le bar et on mime une fellation (que j’ai coupé sur la future vidéo, car on ne suce pas le Père-Noël 🤪). La transition est parfaite pour le gangbang.
On descend du bar pour nous déplacer dans la pièce d’à côté, où se trouve un grand matelas rond, idéal pour un gangbang. Le Père Noël nous rejoint pour lancer le gangbang avant que tous les mecs de la discothèque nous rejoignent.
C’est un superbe moment avec des fellations à la chaîne, de la baise non-stop. Hinatou et moi encaissons côte à côte avec une vraie complicité. On partage le sperme des participants, ainsi que les moments forts.
Pour finir je me fais plaisir avec le pied dans mon cul d’un complice, un garçon que je connais déjà et avec lequel j’ai déjà joué de cette manière. L’idée m’est venue très spontanément, sur un vrai coup de tête et c’est incroyablement jouissif.
Découvre le teaser du film ‘Gangbang des Mère-Noël dans le club La Chrysalide’
Merci à tous ceux qui se sont déplacés pour moi cette semaine. J’ai passé une semaine absolument géniale et fais de très belles rencontres.
Je ne te cache pas que je suis épuisée quand je rentre à l’hôtel, et même le lendemain… mais plutôt mentalement. Physiquement, je suis étonnamment en forme. Je rentrerai quand même tranquillement à la maison au Cap d’Agde et je ne ferai rien dimanche, sauf rattraper mon retard sur mes réseaux, monter des vidéos et écrire ce blog.