Le salon érotique Extasia 2025 à Bâle, en mots et en images

Tu ne peux pas t’imaginer comme je suis stressée et nerveuse avant ce salon érotique. Ça dépasse ma nervosité habituelle avant des événements comme des gangbangs ou des tournages à Prague. Le salon me fait complètement sortir de ma zone de confort. Jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais fréquenté un salon érotique, même pas comme visiteuse. Je ne sais donc absolument pas à quoi m’attendre. Qu’est-ce que je vais mettre ? Quelles sont les tenues habituelles dans un salon érotique ? Je regarde sur les réseaux pour me faire des idées, je fais des essais, mais je n’arrive pas à me décider. Je suis déstabilisée, et plus je réfléchis, plus je suis perdue. Finalement, je remplis une valise pour pouvoir choisir sur place.

C’est pareil pour mes shows en direct devant le public. J’ai des shows avec des partenaires et d’autres toute seule, mais je n’ai encore jamais vu de shows en public. Je n’ai donc aucune idée de ce que c’est en vrai. J’essaie de chercher sur les réseaux, mais évidemment on ne trouve que des extraits soft, du striptease,… Je suis dans le flou total.

Je décide donc de faire quelque chose que je maîtrise, et je demande à Pussykat, l’organisatrice, si j’ai le droit de tout faire. Elle me répond en rigolant que, venant de moi, elle a peur, et que par exemple je n’ai pas le droit de faire des gangbangs en public. Sinon elle me donne feu vert. Je décide de faire ce que j’aime et d’utiliser mes plus gros godes. Ça, c’est dans mes cordes et j’essaie d’imaginer un mini-scénario. J’arriverai en mode secrétaire avant de me transformer en coquine avec de grosses envies. Est-ce que ça suffira ? Aucune idée, je ne suis pas sûre de moi.

(Extrait de mon premier essai)

J’aurai aussi un stand à tenir, et je dois le meubler. Je commande des bâches, un roll-up, des cartes de visite, des cartes à signer. Je réfléchis à vendre des goodies comme des tasses, des t-shirts, des calendriers,… Le calendrier serait une excellente idée, mais je n’ai pas assez de temps pour le réaliser. Je décide pour finir de prendre juste des livres avec moi.

Quelques jours avant l’événement, un journaliste du journal suisse « Blick » me contacte. Il a vu que je serai à l’Extasia et veut faire un article sur moi, et mon histoire. Tu te souviens ? En 2014, j’avais fait les gros titres avec mon « scandale », faire du porno amateur en travaillant au Palais fédéral. En 2020, j’ai sorti mon livre pour raconter mon histoire, et le “Blick” avait déjà écrit un article. J’accepte de donner une interview, car je n’ai plus rien à cacher aujourd’hui. On se donne rendez-vous à Berne pour faire des photos devant le Palais fédéral. C’est une petite revanche de ma part vis-à-vis de mon ex-employeur, qui m’avait laissé tomber sous la pression médiatique.

Le journaliste est venu avec un photographe et pendant une heure on fait des photos devant le Palais fédéral. Pas très discret, surtout avec un gros flash et les poses. On attire l’attention, également des touristes qui ne manquent pas de faire des photos. Il fait un froid glacial. Je suis complètement frigorifiée quand enfin on décide d’aller faire l’interview au chaud, dans un café des environs. C’est une bonne discussion. L’interview, qui sort le samedi 6 décembre 2025 en première page du journal, me plaît beaucoup. On parle de mon passé, de mes décisions, de ma carrière dans le porno.

Jeudi après-midi j’arrive à mon hôtel à Bâle et je découvre que la halle, où aura lieu l’Extasia, est à 100 mètres. Je décide d’aller y faire un tour. Oh là là, c’est impressionnant de voir l’annonce en grand sur les écrans, avec mon affiche en plus ! Ça me fait très bizarre.

J’envoie un message à Pussykat, l’organisatrice, pour dire que je suis bien arrivée. Elle me dit que je peux déjà venir installer mon stand car ils montent les infrastructures. Ce que je ferai le lendemain, mais je me laisse tenter d’entrer et d’aller voir la halle encore à moitié vide. Je passe par l’entrée arrière et je vais dire bonjour à Pussykat et son mari. Ils sont vraiment adorables. Voir les gens s’affairer, voir la grande scène, la petite scène, n’enlève pas mon stress, au contraire.

Je décide d’aller me détendre en ville. Il y a un magnifique marché de Noël, et un verre de vin chaud me fera du bien. Le soir je ne mange rien, car à partir de maintenant je ne vais plus manger jusqu’à dimanche soir pour des raisons de préparation anale. Sur place, il n’y a pas de douches. Je vais donc devoir me préparer avant d’arriver au salon et rester clean jusqu’à la fin de la journée. La meilleure technique pour moi est de ne pas remplir mes intestins. Les matins avant le salon, je rajoute de longues douches anales pour me vider complètement. C’est ce qui me permettra de réaliser mes shows sereinement. Pour moi arrêter de manger n’est pas un problème. À Prague, je fais pareil pendant les tournages. Je suis une grande gourmande, j’adore manger sans compter, mais quand j’ai le couteau sous la gorge, je renonce sans problème. C’est comme une préparation pour une compétition.

Le matin du 1er jour du salon érotique, la tension monte à son maximum. Je me prépare longuement avant d’aller installer mon stand. On a quelques soucis pour fixer les bâches, mais finalement ça tient. Je suis assez contente de ma petite surface. C’est intéressant de voir ce que les autres montent. En face, un stand de sextoys et de dessous, à droite Sweetbodymary, une fille que j’ai rencontré à la remise des European Adult Awards à Bruxelles au printemps passé. Elle a gagné le prix de la « meilleure créatrice de contenu » et tient un stand de goodies. Elle ne fait pas de shows. Elle et son compagnon sont adorables. À gauche, un énorme stand de bonbons. Il va me nourrir et me donner du sucre pour tenir ces trois prochains jours. Je suis une tellement bonne cliente que les commerçants finiront par m’en offrir, trop gentils.

Après l’installation du stand, je retourne à l’hôtel, et dans l’après-midi mon fils et sa copine viennent récupérer Yoshi. Un salon érotique n’est pas un endroit pour un chien, et surtout je n’aurai pas le temps de m’en occuper. Pendant que l’on discute sur le trottoir, un automobiliste freine et crie: « Mais c’est Yoshi ! » On rigole, je lui fais signe, et là il manque de faire un accident avec un tram qui arrive. Le tram doit freiner d’urgence, un vrai bordel à cause de moi, ou de Yoshi. Heureusement plus de peur que de mal. Mon fils est quand même étonné que même Yoshi se fasse reconnaître dans la rue.

Le temps de me changer, et je repars au salon. Je découvre ma loge car en tant que « guest », j’ai droit à une loge privée juste à côté de la grande loge pour tous les artistes, et à l’autre bout une autre loge privée pour la deuxième guest star, Cléa Gauthier. Quand j’arrive avec mes deux valises, Lady Fiina s’est déjà installée dans ma loge, mais j’adore cette fille. C’est une Suissesse alémanique, qui fut ma concurrente à Bruxelles. Elle est magnifique, adorable et super douée. Elle fait des shows incroyables de striptease avec du feu, une vraie artiste. Je rigole intérieurement, car elle ne savait pas que la loge était censée être la mienne, mais je ne dis rien. Elle me demande si je veux m’installer avec elle, je lui dis juste avec plaisir. De tout de façon j’aurais gardé la porte ouverte car je ne me vois pas m’enfermer seule pendant que tout le monde se prépare dehors. C’est une ambiance de camping géniale, un mélange de tenues, de gens qui se changent, d’accessoires. Je reconnais certaines têtes de Bruxelles, et d’autres d’un tournage récent à Paris: AmonRaStrip par exemple, ou Doryann Marguet et Irogenia, qui organisent et gèrent le théâtre érotique. C’est-à-dire les shows hard sur la petite scène, celle où je vais me produire. C’est un couple adorable, très professionnel derrière leur air timide. Je me rends compte, pendant le salon, à quel point leur boulot est stressant et fatigant. Il faut assurer le déroulement, faire les annonces, jouer eux-mêmes leurs shows. Pour mon show avec Doryann Marguet, il m’a demandé de choisir une super-héroïne. J’ai choisi Catwoman, et lui sera Batman. C’est très sympa ces petites histoires, et ça plaît aux spectateurs. Je réalise maintenant que j’aurais dû peaufiner (un peu plus) mon show solo, penser à un scénario, un costume. Trop tard. Je ferai simple cette fois, c’est une première et j’ai besoin d’expérimenter.

Pour être à mon stand et me promener dans le salon j’opte pour un ensemble rouge sous une robe rouge ouverte. Je me rends compte que c’est un excellent choix pour les photos. Ça en jette, par contre il fait un froid polaire dans l’immense halle. Impossible de chauffer un bâtiment pareil, et je me gèle dans cette tenue. Je suis déjà frileuse de base, donc je souffre beaucoup. La plupart des visiteurs gardent leur veste, et moi je me promène en dessous…

Pas le temps de me plaindre, car dès l’ouverture, je suis entourée à mon stand pour  des selfies, des autographes… Certains restent longtemps pour discuter, et même quand je m’occupe d’autres personnes, ils attendent pour continuer la conversation. Tout le monde est hyper gentil. Je découvre cette clientèle particulière des salons, chasseurs de goodies, de photos, d’autographes. Certains viennent avec des appareils photos XXL et me demandent de poser. Je joue le jeu avec plaisir. Beaucoup de personnes ont même pris un pass de trois jours et me disent qu’ils reviendront samedi et dimanche. Ce sont de vrais passionnés, et c’est intéressant de discuter avec eux. C’est là que je réalise que j’aurais dû prévoir d’autres goodies que mes livres.

Avec toutes ces discussions, je manque presque l’heure de me préparer pour mon premier show. C’est un solo. Je vais vers les loges. Le stress remonte à fond. J’ai mon solo, puis un deuxième show avec Doryann Marguet juste après. Il m’avait envoyé son scénario et sa musique que j’avais essayé d’apprendre, mais là j’ai l’impression d’avoir un trou noir dans ma tête. Je ne sais même plus ce que je dois faire en solo…

Pas le choix il faut y aller. Arriver sur scène et voir la petite salle pleine à rabord me semble irréel. Je n’arrive pas à réfléchir. Je bouge comme dans un rêve, et en même temps dès que je suis lancée je m’amuse à fond. Je suis dans mon élément. Par contre, le temps me semble long. Est-ce que la musique dure plus longtemps que prévu ? Ça me déstabilise. Je réalise aussi ma deuxième erreur que les autres artistes me confirment juste après. Il ne faut pas une seule chanson, mais une playlist de plusieurs morceaux pour avoir des repères, sinon impossible de savoir quand les 10-12 minutes sont passées.

Le deuxième show avec Doryann Marguet est un peu chaotique, car je loupe un passage où je dois aller dans le public avant qu’il me chasse, puis qu’on se bagarre avant de passer à l’acte. La suite se déroulera mieux. Le public oublie vite les petites imperfections, surtout qu’il est impressionné par les fists qu’il découvre.

Plus tard dans la soirée j’ai un show avec Lady Fiina. Pour moi c’est un point fort de mes shows hards ! Elle assure, et elle me met vraiment à l’aise. On commence doucement, puis on joue avec des godes. Elle est très joueuse et me demande en plein show si j’ai envie de sa main. Évidemment. Elle finit par s’occuper de moi avec ses deux poings. Une belle surprise pour moi, et pour le public.

En gros, ça fonctionne comme ça. On discute avant le show de ce que l’on veut faire, puis sur scène on laisse notre feeling agir. On se parle beaucoup entre nous, ce que le public ne remarque pas forcément à cause de la musique.

Je suis soulagée que ces shows se sont bien passés, et je me sens plus sereine pour la suite. Quand je finis à minuit, je suis crevée mais satisfaite. J’ai très mal aux pieds . J’ai abandonné les talons après une heure de salon pour mes Dr. Martens, mais rester debout de 17h à minuit m’a achevée. Ça m’empêche même de bien dormir avec des crampes aux pieds.

Samedi, c’est bizarre de me réveiller sans Yoshi. Je me réveille et je commence directement mes préparations anales. Même en ne mangeant plus depuis jeudi soir, il reste du contenu dans mes intestins. Tu ne peux pas t’imaginer la quantité qu’ils peuvent contenir. C’est seulement en pratiquant cette technique qu’on commence à bien connaître cette partie de son corps, à la comprendre et surtout à pouvoir s’imaginer sa longueur gigantesque. Je parle sûrement trop de ça et je m’en excuse, mais c’est vraiment le thème numéro 1 qui me préoccupe durant ce week-end. Imagine un « accident » de propreté en live sur scène. Ce serait une sacrée catastrophe.

Je trouve quand même le temps de descendre en ville pour prendre le petit-déjeuner pour Vincent, un thé pour moi et faire quelques courses: acheter du coca et du chocolat pour tenir la journée. Là je réalise à quel point Yoshi rythme ma vie, car à deux reprises, devant les magasins, pendant que Vincent entre tranquillement, je me mets automatiquement à côté de la porte pour attendre. Vincent ressort: « Tu fais quoi ? ». Et c’est seulement à ce moment-là que je réalise que je peux entrer car je ne suis pas obligée d’attendre dehors avec Yoshie. J’en rigole encore aujourd’hui de cet épisode.

Samedi le salon érotique commence à 14h. Je décide de porter du noir, mais je vais vite remarquer que ce choix donne moins bien sur les photos et vidéos. À l’avenir, je garderai ma couleur préférée, le rouge. Dès que les portes s’ouvrent, c’est la folie. On sent que c’est samedi. Il y a énormément de monde. Le marathon continue entre discussions, photos, signatures, et aujourd’hui plus encore car je suis au centre de l’attention. L’article du Blick est sorti dans la nuit. Beaucoup de curieux viennent me voir, parler avec moi, acheter mon livre. Des journalistes passent pour des interviews comme le « 20 Minutes » ou la chaîne « Star TV ».

(Interview pour 20 Minuten en suisse allemand)

Je ne suis pas à mon aise sous les projecteurs, car je ne suis pas sûre de moi de nature. Toutes les cinq minutes, je me demande si mon mascara a coulé, si tout est encore en place, si mes cheveux vont, si je n’ai pas l’air d’une cruche. C’est déstabilisant de poser X fois pour des photos et vidéos sans pouvoir contrôler ce que ça donne. Il me manque clairement de l’assurance pour ça. En même temps, ça me fait super plaisir. Qui ne serait pas honorée d’être au centre de l’attention d’un salon érotique ?

Le stress continue entre les spectateurs, les journalistes et je dois aussi gérer mes shows. Avant chaque show, je vais vite vérifier ma propreté aux toilettes, qui sont au premier étage de la grande halle. Aujourd’hui je prévois quand même plus de temps que la veille pour me changer dans la loge car j’ai remarqué vendredi que d’être trop juste dans le temps augmentait mon stress. Pendant mes shows, on ferme le stand et je mets un panneau avec les horaires de mes shows. Les gens viennent au stand pour me voir, et pas Vincent. Ça lui permet aussi de faire une pause et d’aller se promener dans le salon pendant mes shows.

Je suis contente d’avoir déjà fait un premier passage vendredi avec toutes les options: solo, lesbien, et avec Doryann Marguet. Samedi, le salon et le théâtre érotique est plein à craquer. Les gens sont carrément debout et entassés dans la petite salle, où a lieu mes shows. L’ambiance est torride. Ça gueule, surtout les fans les plus assidus, qui donnent tout. C’est encourageant. Merci à eux.

Je passe vraiment des moments extraordinaires., et à minuit d’assurer mes shows et ma présence pour les fans, je suis complètement claquée, mais super heureuse.

Je me réveille dimanche courbaturée et (un peu) grippée, mais la journée de dimanche me semble facile, car elle ne dure que de 12h à 18h. Les shows, je les connais déjà. À part avec Lady Fiina, j’ai aussi fait un show lesbien avec Tina Snows, une belle blonde, qui je crois est néerlandaise. Ça s’est également très bien passé avec elle. Elle a pris un petit gode pour sa chatte, et un énorme gode pour mon cul. C’était mon seul show sans fist anal. Les retours des spectateurs sont unanimes. C’est rare, voire quasiment inexistant, de voir de l’anal hard et du fisting en live dans des salons érotiques. Je sais que mes shows n’étaient pas parfaits, mais au moins ils étaient impressionnants.

Dimanche après-midi il y a un peu moins de monde au salon, ce qui me laisse plus de temps pour discuter avec les autres artistes. 

J’ai presque oublié de mentionner Cléa Gaultier dans mon article blog, la deuxième guest star, qui a brillé par son absence.

Vendredi soir, une petite rumeur a circulé entre les artistes que Cléa Gaultier n’était pas présente. En effet, aucune trace d’elle, mais à l’heure de son spectacle – un show striptease sur la grande scène – elle est bien là. Elle a débarqué, fait son show,  puis disparu à nouveau jusqu’au suivant.

Pendant les trois jours, elle arrive à la dernière minute, discrètement depuis son hôtel, s’enferme dans sa loge privée, porte fermée, fait son show, et disparaît aussitôt. On ne la voit jamais dans le public ni dans la loge des autres artistes. Pour la voir, spectateurs comme collègues doivent assister à un de ses spectacles. Il est clair que pas mal de fans venus spécialement pour elle ont été très déçus.

J’ai eu l’impression d’assumer le rôle de “guest” vis-à-vis des spectateurs à moi toute seule, et franchement elle ne m’a pas manqué, ni aux spectateurs.

Merci à tous ceux qui ont participé à cet événement incroyable, à toutes les personnes venues me voir, discuter, me soutenir. Merci aux artistes pour leur bonne humeur et leur travail, et merci à Pussykat pour l’organisation impeccable du salon et pour m’avoir invitée !

Pour finir je dois être sincère. Au début j’étais certaine que ça resterait une expérience unique. Aujourd’hui je ne suis plus si sûre, et je me vois bien renouveler l’expérience. On verra.

Le mot de la fin en français

Le mot de la fin en anglais

Le mot de la fin en allemand

4 Comments

  • heinnapp
    heinnapp , 12/12/2025 @ 16h25

    Thank you so much for your detailed blog report about your experiences & impressions of Extasia… which many fans have surely been waiting for.

    As always, you report openly, authentically, and candidly… just as we know and ❤️ you … and just as the Extasia visitors have certainly come to know & appreciate you (in stark contrast to the other Extasia guest star Cléa Gaultier… and exactly THAT exemplifies what sets you apart from so many other ‘stars’ in the adult biz, and makes you & and your content unique 💖😊👌

    I actually tend to write very long comments (often overly long, I know ;-), but today I’ll leave it at a simple but unabashed Woooow 🤩🤩🤩

    • Adeline Lafouine
      Adeline Lafouine , 12/12/2025 @ 16h43

      Writing this blog post felt important to me, because Extasia was such an intense and meaningful experience, and I wanted to share it exactly as I lived it, honestly, simply, and without pretending to be someone I’m not. If people appreciated me there, then I’m happy because it means they connected with the real person behind the content. And your comparison made me smile… I don’t try to “play the star,” I just try to stay myself, with my little imperfections and my big enthusiasm. Maybe that’s what creates the difference. And your Woooow is already a perfect comment — no need for more.

      Traduction française
      Écrire cet article était important pour moi, car Extasia a été une expérience intense et marquante, et je voulais la raconter exactement comme je l’ai vécue, honnêtement, simplement, sans jouer un rôle. Si les gens m’ont appréciée là-bas, j’en suis ravie parce que cela veut dire qu’ils ont connecté avec la vraie personne derrière le contenu. Et ta comparaison m’a fait sourire… je ne cherche pas à “jouer la star”, j’essaie juste de rester moi-même, avec mes petites imperfections et mon grand enthousiasme. Peut-être que c’est ça qui fait la différence.

      Et ton Woooow est déjà un commentaire parfait — pas besoin d’en faire plus !

  • Mathis 2020
    Mathis 2020 , 12/12/2025 @ 16h59

    Très bon récit très détaillé de ton passage au salon Extaxia
    Avec bcp de photos et vidéos dans les 3 langues c parfait
    Superbe travail félicitations 😘😘😘😘

    • Adeline Lafouine
      Adeline Lafouine , 12/12/2025 @ 17h07

      Je suis vraiment contente que mon récit d’Extasia t’ait plu. J’y ai mis beaucoup de temps et d’attention, surtout pour que tout soit clair, complet et agréable à lire que ce soit en français, en allemand ou en anglais. Et si les photos et vidéos rendent le tout encore plus vivant, alors c’est parfait 🤗

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