Une semaine de folies entre Joigny et Paris, en mots et en images (5100-2)

Un abonné m’a fait découvrir l’année dernière le bar naturiste “La Petite Pause” à Joigny et m’avait, avec Anaïs la gérante du bar, organisé un superbe gangbang. Depuis, j’avais très envie de renouveler l’aventure, mais Joigny n’est pas vraiment à côté du Cap d’Agde. Comme je passe la semaine à Paris, de faire un petit détour en m’y rendant est tentant. 

Sur la route de Paris, je dors à Dijon et le matin je me réveille de bonne heure et déjà nerveuse, car je sais qu’il n’y a pas de douche sur place, et que je dois être “prête” côté anal en arrivant. Dans mon planning de préparation, je dois aussi tenir compte de Yoshi. Si je pouvais simplement « m’occuper de mon planning », ce serait plus simple, et je pourrais dormir plus longtemps. Mais c’est peut-être une bonne chose que Yoshi m’oblige à sortir et de profiter de l’endroit où je me trouve. Du coup, je fais une petite balade dans les ruelles de Dijon. Je prends même un thé sur la terrasse d’un bistrot avant de retourner à l’hôtel pour une seconde douche, plus minutieuse. Je suis très attachée à ma propreté, c’est presque un rituel.

La route entre Dijon et Joigny est encore assez longue. Je pars vers midi pour arriver à 14 heures. Contrairement à la première fois, je sais exactement où se trouve le bar, dans une petite ruelle montante de la vieille ville. En arrivant, un groupe de randonneurs passe devant l’entrée. Ce n’est pas le meilleur timing pour une entrée discrète. J’attends qu’ils s’éloignent avant de sonner à la porte.

Anaïs, la charmante gérante, m’ouvre discrètement. Je ne suis plus surprise par le couloir étroit et sombre qui mène au bar. Il y a déjà du monde, quelques visages connus de la première fois, d’autres nouveaux. Une jeune femme, cliente habituée, vient me saluer. Il s’agit de Lina Luxa, qui crée également du contenu pour adultes. Nous échangeons quelques mots. Je lui propose même de participer, mais elle m’explique que ce n’est pas vraiment son truc, qu’elle préfère les moments en petit comité. Cela me va aussi d’être seule, et me permettra de rester centrée sur mes propres sensations.

Je vais me changer dans la petite pièce à côté. Mon jean et mon sweat laissent la place à des bas résille et des bottes en velours rouge. L’ambiance monte peu à peu. On sent que tout le monde est prêt. Vincent reste comme toujours très discret, il ne s’impose jamais. Je discute avec les participants et fais le tour pour saluer tout le monde. Il ne me rejoint qu’au moment où l’on décide que le gangbang va commencer. On prend deux-trois photos pour immortaliser le départ, puis j’annonce que la rencontre est officiellement ouverte.

Les hommes présents sont des personnes “normales”, libertins ou non, et comme la dernière fois l’ambiance est très agréable, légère, respectueuse, mais intense. C’est une dynamique simple, sans prise de tête, sans compétition entre les participants et sans démonstration inutile. Certains sont très endurants et prennent leur temps, d’autres vivent les choses plus rapidement et discrètement. Tout se fait sans pression, chacun selon son rythme.

À un moment, il y a comme une pause dans l’énergie générale, plus personne n’est vraiment prêt à reprendre. C’est là que je demande à mon abonné (et organisateur accessoire), s’il veut bien meubler ce moment de pause par une petite “pause ludique”. Je lui propose de me faire plaisir avec son poing, car je sais qu’il aime le fisting. Je ne sais jamais à l’avance si je fais ou non un fisting car c’est toujours une décision spontanée, dépendant de l’ambiance, de ma forme, de mon envie, de la situation du moment. Cette parenthèse relance le gangbang et excite à nouveau les participants. 

Anaïs circule discrètement pour prendre quelques photos pour son site internet. Je la vois par instant, mais je suis surtout occupée par les sensations, par mes émotions. Vincent fait de son mieux avec la caméra au milieu des corps. Je l’oublie souvent, me tournant instinctivement sans penser à la caméra, car je reste avant tout une libertine, pas une actrice, et je pense que ça se voit et m’en excuse auprès de ceux qui aimeraient ne rien manquer. 

Le gangbang s’arrête à la dernière éjaculation sans avoir la moindre idée du temps réel que j’ai passé sur le matelas, mais sûrement près d’une heure non-stop. Ces moments me font toujours perdre la notion du temps. Je me rafraîchis rapidement avec quelques lingettes avant de poser pour des photos et d’échanger tranquillement avec tout le monde. Un verre d’eau pétillante me fait le plus grand bien.

Après ce moment de détente, je décide sur un coup de tête de proposer un deuxième round. C’est rare pour moi. En général je préfère vivre tout intensément en 1 round, sans pause, car une fois la tension retombée, l’énergie est difficile à relancer, mais pas ce lundi.

Ce deuxième acte fait particulièrement plaisir à un participant arrivé en retard, un jeune black en pleine forme. En petit comité, avec ceux qui ont encore envie et la capacité de continuer, ce dernier round est une superbe finale pour conclure un après-midi intense et riche en émotions.

Après un dernier verre d’eau (toujours pétillante), je reprends la route en direction de Paris, où j’arrive satisfaite et heureuse de ces moments partagés. 

Mardi j’avais à la base prévu une longue journée de collaborations avec un acteur et une actrice, mais je ne me sentais pas capable d’assumer cette journée à la suite du déplacement sur Paris et du gangbang de lundi. D’un commun accord, on a repoussé cette collaboration à février prochain.

Mais si je suis déjà sur Paris, je décide de faire rendez-vous avec un libertin pour un plan rapide. Rendez-vous est fixé à 11h30, et j’avais été très claire sur l’heure. 11h30, pas plus tard, car je ne veux pas bloquer mon après-midi pour quand même profiter de Paris. Quand je reçois un message vers 11h m’annonçant que mon invité aurait au moins 30 minutes de retard, voire beaucoup plus, je décide d’annuler. Pour moi, la ponctualité dans une rencontre libertine est une question de respect et d’éducation. Ce n’est pas grave en soi, à part qu’il a pris la place de quelqu’un qui aurait pû se libérer à 11 heures.

Comme je suis déjà prête, je profite du joli cadre de la chambre d’hôtel pour tourner deux vidéos en solo. L’une d’elles est déjà disponible sur mon blog abonnés en mode glamour, soft et sensuelle. 

Je me change et pars me balader au bord de la Seine de Bercy à Notre-Dame. Ça fait une belle balade, mais ça fait tellement de bien de s’étirer les jambes, de voir autre chose et de se vider la tête. Je m’offre une pause dans un bistrot que je connais déjà, où je suis accueilli chaleureusement ainsi que Yoshi. Les restaurateurs qui aiment les chiens ont tout gagné avec moi.

Je retourne ensuite de nouveau à pied à l’hôtel. Cette longue balade est parfaite pour digérer. Tant mieux, car Vincent a trouvé un libertin qui souhaite nous rendre visite à 18h. J’ai juste le temps de me changer, de me préparer, puis d’aller l’accueillir à l’entrée de l’hôtel. L’invité est ponctuel, bravo à lui. Il est souriant et très sympathique. Nous échangeons quelques mots, mais il sait pourquoi il est là et compte bien en profiter.

C’est un moment simple, agréable et parfait, exactement ce qu’il me fallait pour rendre la journée réussie. Le soir, je reste tranquillement dans la chambre pour faire le tour de mes réseaux, publier et répondre aux messages, des petites choses délaissées quand je suis en déplacement.

Mercredi s’annonce long et intense. À la base, j’ai invité une créatrice de contenu parisienne à me rejoindre pour tourner des vidéos lesbiennes. Il s’agit d’Irogenia, que je suis depuis quelque temps sur les réseaux, et dont j’apprécie l’univers. J’ai pensé que le courant passerait bien entre nous, et je n’avais pas tort.

Elle me réserve quelques surprises. D’abord, elle propose que son compagnon, Doryann Marguet, l’accompagne. Je l’ai croisé lors de la cérémonie des Adult Awards à Bruxelles – il avait remporté le prix du meilleur acteur gay de l’année 2025 – et j’ignorais qu’il était bi et en couple avec Irogenia. Quelle sacrée surprise. J’accepte sans hésiter.

Quelques jours plus tard, elle me propose un troisième participant, qu’elle et son compagnon connaissent et qui est par hasard à Paris au même moment, Maxime Horns. Je pensais qu’il était uniquement gay, mais il s’avère qu’il est, comme Doryann, bi et en couple avec une femme. J’accepte également, et Maxime Horns ajoute par la suite une quatrième personne, car il sera accompagné du youtubeur Jordan Jules, qui tourne un reportage sur lui et sur le tournage d’une vidéo X.

Cette constellation ouvre plein de possibilités de jeux avec deux hommes expérimentés, Irogenia qui aime jouer la dominatrice, quant à moi je n’ai aucune expérience dans ce domaine, mais j’ai plein d’idées… et aucune à la fois. Je ne les connais pas encore, mais eux se connaissent. Cela me rassure car je sais qu’ils sauront ce qu’ils veulent faire.

Tous arrivent avec du retard. Décidément… mais ils ont de bonnes raisons, et aujourd’hui le contexte est différent. Cela ne me dérange pas, même si je déteste attendre car je sais que l’attente fait toujours monter la tension. 

On discute, et je me rends compte que tout le monde est très sympathique et moins compliqué que je ne l’avais imaginé. Pourquoi avais-je imaginé le contraire ? Certainement parce qu’il ne s’agit pas d’une rencontre libertine, mais d’une collaboration, et que les attentes sont différentes. Le but premier est de réaliser une vidéo, et pas seulement de s’amuser. Du coup, la pression pour moi est plus élevée, mais je n’ai pas l’impression que nous n’allons pas nous amuser autant cet après-midi. Et mon impression sera la bonne.

On ne discute pas éternellement de ce que nous allons faire. Nous transformons plutôt l’introduction de notre vidéo en analyse de nos envies et de nos préférences. Nous présentons nos jouets, nous rigolons sur certaines pratiques… et c’est de là que le scénario part automatiquement. La discussion sert d’introduction et la scène se déroule naturellement sans mise en scène, sans coupures, sans pause. C’est un moment extraordinaire. Tout se passe tellement de manière fluide et naturelle. Je ne vois pas le temps passer, et les autres non plus.

C’est une vraie orgie de fisting et de sexe. Les corps se mêlent. Les garçons jouent entre eux, les filles entre elles, les garçons et les filles changent de place et de rôle. Nous n’avons même pas le temps d’utiliser les gros godes présents. Nous ne jouons qu’avec nos corps. Je gicle à plusieurs reprises, les orgasmes des autres se succèdent. C’est absolument incroyable. Une heure de folieS et de plaisirS comme je n’en avais jamais vu ni vécu. Vincent a essayé de tout filmer de manière à ne rien manquer.

Jordan Tules filme discrètement (sans filmer la scène bien sûr) et réalise quelques interviews avant et après la scène. Sa présence ne dérange pas du tout, au contraire, il est vraiment très sympa, très jeune et mignon.

Je finis épuisée mais tellement heureuse de cette expérience incroyable. Nous prenons tous une douche, puis discutons encore longuement autour des boissons, chocolats et bonbons que j’ai organisé. Vers 19h il est temps de se quitter. Je retrouve un peu de calme, mais ce n’est que de courte durée.

Je sors Yoshi et reprends une douche. Vers 21h, mes invités du soir arrivent. Chris et Enigma (ex-Pipa Chuby), ainsi qu’un complice black. Pour être franche je suis épuisée. Je ne peux pas m’imaginer jouer encore ce soir. Vincent me dit que je peux faire plus tranquille pour une fois, mais je connais mes partenaires de ce soir, et surtout je me connais moi-même, impossible de rester tranquille ou soft entre nous.

En arrivant, Chris m’offre un t-shirt qui me fait bien rire avec l’imprimé “drink piss”. C’est trop marrant et hyper sexy. On discute autour d’un apéro, et bientôt Enigma me fait une belle surprise car elle a apporté une tenue en latex avec une cagoule intégrale, et elle me dit qu’elle veut jouer avec moi ce soir. Je suis trop contente car ça faisait longtemps.

Elle avait arrêté de faire des vidéos il y a quelques années pour protéger sa vie privée, elle avait décidé de ne plus apparaître dans des vidéos. Aujourd’hui elle en a envie et elle est prête à reprendre. Le visage caché, sans parler, personne ne pourra la reconnaître. C’est génial. C’est Enigma, ma copine (un peu) folle et déjantée, comme tu l’avais déjà vue dans d’anciennes vidéos.

On pose pour quelques photos, et c’est parti sans même s’en rendre compte. Je remarque tout de suite qu’elle n’a rien perdu de son énergie ni de ses envies. On s’amuse longuement entre femmes. Nos deux complices nous regardent de loin, discrètement, mais ils doivent être excités par le spectacle, car on ne se contente pas de s’embrasser et de se lécher.

Enigma finit par me double fister comme elle sait si bien le faire. C’est vraiment la meilleure de mes complices. J’adore. Elle me fait gicler et tout mouiller.

On invite nos deux complices à nous rejoindre. Là, tout part en vrille. Je ne peux pas ou je ne peux plus décrire le déroulement exact. Tout se mélange dans ma tête. J’encaisse des mains, des queues, les deux en même temps. Je vois Enigma s’amuser à côté de moi pendant que je me fais baiser, puis elle me rejoint pour se mêler à nous et s’occuper d’un de nos complices en même temps que moi, ou s’occuper de moi, et moi d’elle. C’est hard, très hard, humide et jouissif !

Quelle soirée. Normalement j’évite de manger avant un gangbang, que j’ai le lendemain, mais ce soir j’ai faim et je me laisse aller. On trinque, on discute, et on se quitte vers minuit. Tu peux t’imaginer mon état, et encore pire celui du lendemain matin…

Je me réveille avec la tête dans le cul, et surtout… le cul très irrité. Quatre jours de lavements et de sodomie, ça se sent mais l’adrénaline du gangbang de ce jour fait son effet. Je me prépare, je sors Yoshi, et je me prépare encore. Vers 11 heures, je quitte l’hôtel pour aller boire un thé sur la terrasse du café d’à côté avant de me rendre à la Factory, à Bagnolet.

Le gangbang aura lieu dans un magnifique studio photo que son propriétaire loue à l’organisateur “Derriere le rideau”. J’adore cet endroit lumineux, j’aime quand la perversité et le hard se mêlent à la luxure. C’est la perversité chic.

Je me change, avant d’aller encore trois fois aux toilettes, pas par besoin ou que je ne suis pas prête, mais juste par nervosité. Ma nervosité monte encore quand les participants arrivent. Un par un, mais combien sont-ils ? Je saurai plus tard qu’ils sont 38. Sur le moment, je vois juste une masse d’hommes. Je suis à la fois excitée, nerveuse et heureuse… morte de trouille… et encore heureuse. Tu vois ce que je veux dire ? C’est un mélange incroyable. Tout dans mon corps semble se détacher et je n’arrive pas à penser très clairement.

Je salue tout le monde, et comme lundi dernier, je fais la bise à chaque personne qui arrive. Je trouve que c’est important, c’est ma façon de fonctionner. On va passer un moment très intime ensemble, alors la moindre des choses est de se saluer correctement. Ce qui fait toujours rire, c’est que je fais 3 bises, et pas 2 comme les Parisiens.

Bon, on se fout des bisous. Comment je me retrouve à genoux entourée de tous les hommes ? Je ne sais même plus. Je crois que c’est Z. qui a lancé le mouvement… Ce début de blowbang finit par me détendre complètement.

Après un long moment sur le beau parquet en bois, on me déplace vers le grand matelas, ce lit carré noir posé au centre de la pièce. À la bonne hauteur pour jouer, je me laisse emporter. Les choses s’enchaînent, de tous les côtés. L’énergie monte, la dynamique aussi. L’ambiance est incroyable. Les participants sont joueurs, intenses, un peu dominants mais toujours respectueux, décidés mais jamais dans l’excès.

Ce que j’adore, c’est que ça tourne tout seul. Pas besoin de guider en permanence, même si comme toujours j’essaie de faire en sorte que tout le monde profite, même les plus timides. Parfois je lance simplement un “allez, faites tourner” (toujours) avec le sourire. Je crois que ce jour-là, tout le monde a pu se régaler, mais surtout moi.

Les moments forts s’enchaînent, d’une intensité folle, aussi physiques que sensoriels. Je me laisse porter, je savoure, je profite, je me perds un peu. Je sens la montée d’adrénaline, les instants suspendus. Je reçois de la chaleur, de la tension, de l’énergie brute, un vrai déferlement sur mon corps et ma peau. Beaucoup finissent même par jouir deux fois. C’est dire l’ambiance. Je suis épuisée, littéralement vidée, et tellement satisfaite. Un des participants, Master Slim, m’offre même une petite “finale” particulière sous la douche, à sa manière.

Je me refais une beauté vite fait avec quelques lingettes, et je retourne discuter, faire quelques selfies dans mon état “pitoyable-après-lun-gangbang-défaite-et-décoiffée“. Je dis au revoir à chaque participant, je bois un verre d’eau et je souffle un peu.

🚨 Découvre le teaser du gangbang – Le film (+ d’1h) sortira vendredi 21 novembre 2025🚨

Je récupère Yoshi (qui dormait profondément sur un fauteuil), mes affaires, et on reprend la route en direction de Beaune. Je conduis, mais je sens vite un malaise monter. J’ai avalé trop de sperme, mangé trop peu, bu encore moins. Mon estomac proteste. Vincent prend le volant, et ça va mieux à l’arrivée à Beaune.

À l’hôtel je prends une vraie douche, je me prépare et je sors savourer un superbe apéro sur une terrasse de Beaune puis un excellent restaurant gastronomique (Garum) pour clôturer une semaine inoubliable…

4 Comments

  • Régis , 19/11/2025 @ 13h02

    Je n’ai qu’un mot..”puuuunaiise!!!”!!!!même si je suis pas pour le côté “bi”entre homme ect..je bloque là,dsl..mais je respecte..
    Regis,Andrea and Oskar!!!

  • heinnapp
    heinnapp , 19/11/2025 @ 18h01

    Merci bcp for reporting about your incredible week in Paris (and Joigny)! You had already let us know quite a bit about your experiences in your social media post and during the last Sunday chat but to read your blog (as usual in your typical candid & engaging style, and adorned with great matching images) makes everything even more captivating 💓💓💓💓… and what a varied & densely packed series of experiences it was (with some happening on the very same day!) – incl a libertine date, two GBs (very different in style & scope), your very first scene with bi men (hard to believe that there can be still “a first” even for you… and btw, I’m not bi at all but I admit I was more turned on than I expected by your account about “this hour of madness like I’ve never seen or expericenced before”, during which you “ejaculated several times, and the others had orgasms one after another”), and of course the 4some with Chris & Pipa (aka Enigma), as usual “hard, very hard, wet and pleasurable” (just as you love it!) AND above all with Pipa’s comeback in a sex scene!!!!

    As always, your blog makes me very excited & eager to see the videos Vincent has filmed—and I can’t even say which one I’m looking forward to the most!

  • mike5x2
    mike5x2 , 19/11/2025 @ 20h00

    Merci Adeline pour ce récit de ta semaine du 10 au 14 novembre 2025. Quand on te connait un peu on imagine ta vie de libertine en vrai et toute l’énergie nécessaire pour encaisser tous les assauts des garçons en pleine forme. C’est la première fois que tu avoues avoir fait une indigestion de sperme et que tu as eu ton anus endolori. C’est bien Adeline d’avoir accepté de le formuler. Ton corps n’est pas une machine, respecte les messages qu’il t’envoie.

  • mike5x2
    mike5x2 , 19/11/2025 @ 20h02

    Adeline, très beau blog, bien écrit et documenté, félicitations.

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