Soirée de folies hors normes chez MZL, en mots et en images (5023-1)

Une boule d’énergie bouillonne en moi à l’idée de me retrouver entre les mains de MZL et sa bande. Ça promet une journée marathon. Réveil à l’aube pour promener Yoshi, me préparer tranquillement chez moi au Cap d’Agde, puis direction la région lyonnaise. 3 heures de route. Comme toujours, une petite angoisse me titille : vais-je avoir assez de temps à l’hôtel avant le grand soir ? Mon corps, je le connais par cœur. Parfois, il me réclame mon « petit cirque », comme l’appelle Vincent, ce rituel presque maniaque pour tout évacuer et être au top. Étape par étape, je me transforme. Je suis souvent bien trop en avance, ultra-prévoyante, mais mieux vaut ça que le stress de dernière minute.
 
Sur la route, l’adrénaline monte d’un cran. Pause obligée à l’aire d’autoroute de Montélimar, où trône notre McDo fétiche. On va rarement au McDo, mais Vincent ne résiste pas à son petit plaisir coupable lors de nos déplacements. Et Yoshi ? C’est le roi. On lui commande ses 6 Chicken Nuggets, car pas question pour ce gourmand de se contenter de croquettes. Pour ma part je reste sage, un grand café latte, rien de plus. Pas question de manger avant une soirée comme celle-là. Je veux être légère, le ventre vide. À l’hôtel, c’est la course contre la montre. Je sors Yoshi en express, file chercher quelques boissons pour la chambre, boucle ma préparation… et c’est parti pour la soirée.
 
Après une (déjà) longue journée, MZL m’ouvre les portes de sa cave, un antre parfaitement aménagé pour des nuits libertines et BDSM. Divans moelleux, lit accueillant, matelas jeté au sol, accessoires BDSM savamment disposés, le tout baigné d’une lumière tamisée qui plonge direct dans l’ambiance.
 
Je dépose les pizzas et boissons que j’ai amené sur le buffet – MZL régale toujours ses invités -, car j’aime toujours amener quelque chose. On discute avec MZL, mais je suis une pile électrique, incapable de tenir en place. La nervosité me dévore. Je sais que je ne me détendrai qu’après les premiers instants brûlants. En attendant, j’écoute d’une oreille, l’esprit déjà ailleurs.
 
MZL veut m’avoir pour lui tout seul avant l’arrivée des autres participants pour le gangbang. On se chauffe, on se provoque. Je le pousse dans ses retranchements, jouant à le faire craquer pour qu’il prenne les commandes. Parce que, soyons clairs, endosser le rôle du dominateur en tête-à-tête, ce n’est pas si simple. Je sais d’expérience que donner est plus ardu que recevoir. Et puis, avouons-le, se lâcher totalement, c’est bien plus naturel au cœur d’une foule en furie – comme ça l’a été avant, et comme ça le sera encore dans la seconde partie de cette soirée déchaînée.
MZL se laisse enfin prendre au jeu. Mon Maître du soir ne se fait pas prier: une gifle claque, puis il m’enfonce sa queue au fond de la gorge, me faisant baver sans retenue. Il me crache dessus, défait en un rien de temps mon maquillage et ma coiffure soigneusement préparés. Une pensée furtive me traverse l’esprit: ‘Je dois encore être présentable pour le gangbang‘. Trop tard.
 
Quand il m’ordonne de lécher ses pieds, une idée perverse germe dans mon esprit. Et si je les utilisais autrement? Je me frotte contre eux, les guide pour qu’ils s’enfoncent dans mon cul. C’est intense, presque comme un poing, mais différent. Difficile à décrire. La pénétration rappelle un gros gode, mais la chaleur de la peau, les mouvements du pied, ça rend tout plus vivant, plus brut. J’adore.
 
Dans la foulée je lui réclame son poing. Il s’exécute, et là c’est l’extase: puissant, profond, addictif. J’en redemande. Le rythme s’accélère. Sa queue bien raide prend le relais, alternant avec son poing, parfois les deux en même temps. Et quand il se branle carrément dans mon cul, la sensation me fait vriller, c’est tellement fort, tellement excitant.
MZL change de position, m’étouffe à nouveau avec sa queue dans ma gorge, me faisant baver encore plus. Dans un final excitant, il gicle sur mon cul grand ouvert.
 
Un instant génial entre ses mains, qui m’a enfin libérée de ma tension et parfaitement mise dans l’ambiance pour la suite de la soirée.

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J’ai juste le temps de me refaire une beauté. Je tente de me ‘sauver’ comme je peux. Heureusement, j’ai eu la bonne idée d’emporter du maquillage. Un coup de blush, un peu de mascara, et me voilà (à peu) près présentable.
 
On papote, on se détend, l’ambiance est légère. Puis, petit à petit, les participants du gangbang débarquent. La tension grimpe d’un coup. Quelques visages familiers, d’autres totalement inconnus. Les mecs arrivent un par un, ce qui me laisse le temps de saluer chacun. C’est chaleureux, presque intime. Rien à voir avec l’organisation ultra-rodée de Derrière le Rideau – parfois trop parfaite, trop mise en scène, comme un ‘événement’ avec un grand ‘É’. C’est bien aussi, mais je préfère cette ambiance libertine, plus spontanée, plus vraie.
 
La cave se remplit doucement. Comment décrire ce mélange explosif de bonheur, d’excitation et de nervosité qui m’envahit? Savoir que tous ces hommes sont là pour moi, pour me prendre, me baiser à la chaîne, se vider sur moi. Ça me rend folle. C’est une pensée tellement puissante que je mouille rien qu’en y pensant, que je frôle presque l’orgasme dans ma tête avant même que ça commence. Tu peux imaginer ça? Me livrer totalement, corps et âme, à cette horde de queues, devoir – ou pouvoir, selon comment on le voit – les satisfaire toutes. Me sentir un peu (voire complètement) soumise. C’est indescriptible. Une montée qui pourrait me rendre accro, qui me transporte sur un nuage avant même le premier contact.
Enfin, presque tout le monde est là et MZL donne le signal. En un éclair, je n’ai même pas le temps de réaliser ce qui m’arrive. Des corps m’encerclent, des queues surgissent de partout. Dès la première seconde, les mecs imposent leur domination. Et pas juste deux ou trois qui mènent la danse, comme ça arrive parfois. Là, ils s’y mettent tous, sans exception, et ça démarre fort dès le départ.
 
J’en ai des frissons qui me traversent de la tête aux pieds. Je perds pied instantanément et j’adore ça. On m’attrape par les cheveux, on me crache dessus J’ai déjà connu des crachats mal placés, hors contexte, où ça tombait à plat. Parce que pour que ça passe, il faut une vraie ambiance hard, une domination qui porte le geste. Un crachat gratuit, ça n’a aucun sens. Mais ce soir ça en a, et comment. Tout le monde est dans le jeu, un délire de domination brut et assumé. Je me retrouve écrasée contre des queues, je les suce à la chaîne.
 
Le premier prêt à passer à l’action ne perd pas de temps. Son coup de reins inaugural va direct dans mon cul. Quelqu’un me tient fermement, un autre me plaque au sol avec son pied, m’immobilisant complètement. Je ne vois plus rien. Les corps s’entremêlent, mes cheveux en bataille me voilent la vue.
 
À peine posée sur ce matelas, je suis déjà dépassée. Les mecs sont déchaînés. Ils me parlent mal, m’insultent, me traitent de salope – une symphonie crue qui me fait vibrer. Quelle ambiance.
 
J’adore, j’adore, j’adore. Par moments, je me dis que je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme, qu’ils vont me briser trop vite, que je ne pourrai pas encaisser indéfiniment. Les queues s’enchaînent, je prends tout, et malgré la sauvagerie, il y a une joie dans l’air. Tout le monde adore et assume ce côté hard. Parfois je reprends un peu le dessus, je les provoque, je les taquine. Mais la plupart du temps, je suis juste emportée par la vague, submergée par la foule. C’est jouissif.
 
Quelques-uns lâchent leur sperme en pleine action, direct dans ma bouche, mais la majorité garde leur sperme pour le bouquet final. On me fiste encore, puis vient la délivrance. Ceux qui veulent et qui peuvent m’arrosent, une vraie douche de sperme, un petit bukkake pour clore une heure de baise hard non-stop.
 
Des retardataires arrivent encore à ce moment-là. Mais pour moi il n’y a (normalement) jamais de deuxième round dans mes soirées gangbang. Je donne tout d’un coup, c’est toujours ultra-intense. Je me fais démonter pendant une heure sans respirer, en finissant en mille morceaux, vidée, explosée et après, je suis cuite, impossible de d’encaisser encore +. Je sais que certaines libertines fonctionnent autrement. Elles baisent un peu, font une pause, reprennent un peu, s’arrêtent encore, puis repartent encore un peu. Pas moi. Moi, c’est tout d’un bloc, une explosion d’énergie brute avec un final en apothéose.
Je suis sympa et je m’occupe quand même des retardataires en abandonnant rapidement car je remarque vite qu’ils ne bandent et ne banderont pas. Je fais remarquer que le gangbang est fini, mais MZL réagit direct. Ni une ni deux, il m’attrape par les cheveux et me traîne vers les douches. Faut bien nettoyer tout ce sperme qui me colle au visage et au corps, mais à sa manière bien sûr. Les mecs encore en état et motivés se lâchent, une pluie dorée s’abat sur moi. Dernière folie, et franchement c’est génial.
 
Je suis dans un état lamentable. Sous la douche, je me rince comme je peux et j’essaie de refaire mon visage, mais c’est mission impossible. Et c’est là, comme toujours, qu’on me demande des selfies souvenir. Ça me fait rigoler. Je me demande combien de photos de moi en mode ‘zombie’ (cheveux en vrac, maquillage en ruine, yeux rougis par le sperme) traînent dans des téléphones portables à travers la France et l’Europe. Un jour, je lancerai un appel pour les récupérer et monter une galerie d’horreur, ça pourrait être culte.
 
Je traîne encore un peu dans la soirée, histoire de discuter et manger quelque chose, tout en planant sur mon petit nuage de bonheur. Ça faisait une éternité que je n’avais pas vécu un gangbang aussi intense, aussi dingue, aussi incroyablement hard.
 
Un immense MERCI à MZL pour cette soirée de folies et à tous les participants pour ce moment hors normes.
Adeline Lafouine
administrator

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1 Comment

  • heinnapp , 19/05/2025 @ 14h45

    Sure, sex doesn’t have to be ‘extreme’ to be ‘good’ (that is, satisfying & fulfilling) … but I have to admit that in recent years (not least thanks to you 🙏) I’ve learned that extreme elements 💦🤜😈 can enrich and deepen “sexual pleasures” 💥❤️‍🔥😊 in incredible ways (for those who haven’t experienced it yet)

    … and you & MZL have once again impressively proven this in the clip released today 🤩👌

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