Paris, nouvelles aventures en mots et en images (5009-1)
Après mon voyage à Prague, que je t’ai raconté en détails dans le dernier article du blog, je prends la route pour Paris. Trois jours intenses m’y attendent.
Arrivée dimanche soir, j’ai tout de même le temps de profiter du quartier de Bercy pour une petite balade avec Yoshi avant d’aller au lit de bonne heure car le réveil est réglé pour 6 heures le lendemain matin. Z. (derrierelerideau.fr) m’a organisé lundi midi un gangbang avec une vingtaine de participants.
C’est une superbe partie de baise intense avec des hommes en forme, dans une ambiance extraordinaire. Après un début surprenant en cage, je me fais baiser à la chaîne, en majorité le cul, mais aussi en double. Un des mecs me fait carrément gicler avec sa longue queue avant que tous les participants m’éjaculent dessus, presque un mini-bukkake.
Je finis collante, souillée et défaite comme j’adore. J’ai passé un excellent moment, et je me réjouis de te partager la vidéo. Une vidéo de + d’une heure complètement dingue et intense. Le film du gangbang est sorti dans l’espace abonnés. Découvre le teaser du film:
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Le gangbang m’a bien fatigué, mais la journée est loin d’être finie. J’ai juste eu le temps de souffler un peu, de promener Yoshi, puis il faut déjà me préparer pour la suite de mes aventures parisiennes.
Le soir, un complice parisien me rejoint pour une partie de jeux de domination, fisting et baise. C’est toujours un plaisir de le revoir car après toutes ces années il est devenu un ami avec lequel j’aime partager non seulement des parties de sexe mais aussi des moments d’amitié. Ceux qui suivent mes aventures depuis longtemps le devinent peut-être, c’est le compagnon de Pipa Chuby, qui pour sa part s’est retirée des rencontres filmées. Par contre elle me ‘prête’ son compagnon pour mon plus grand bonheur, car il partage avec moi des envies de hard et de fisting. Je l’appelle mon ‘catcheur pervers’ avec son masque de catcheur. J’aime me retrouver à ses pieds en mode chienne et soumise, et qu’il me maltraite et joue avec mes orifices.
Après ce moment hard, un deuxième libertin nous rejoint. Pour rigoler on l’appelle ‘le stagiaire du catcheur pervers’. J’ai droit à un cunnilingus orgasmique, qui en général n’est pas mon truc, mais pendant cette rencontre ce moment plus tendre a bien sa place. D’ailleurs les vidéos sont déjà en ligne dans l’espace abonné (Prise en main par le catcheur pervers et son stagiaire) et sur Pornbox (Adeline dominated and fucked in the hotel).
Quel moment top, moins hard que d’habitude mais où je me suis faite baiser et j’ai jouit encore et encore. Tu peux t’imaginer qu’après cette journée je suis éreintée, mais je n’ai pas le temps de me reposer …
Couchée tard, je me réveille mardi matin (à nouveau) à 6 heures pour me préparer. J’ai rendez-vous à 9h30 avec Stéphane Prodx, acteur et producteur français, actif dans le porno depuis une vingtaine d’années. Nous nous suivons depuis longtemps sur les réseaux, mais c’était la première fois que nous nous rencontrons en vrai. J’ai presque l’impression de le connaître en l’accueillant devant l’entrée de l’hôtel.
C’était passionnant de faire sa connaissance et d’échanger sur nos expériences respectives dans le monde du porno amateur et professionnel. On pourrait facilement discuter pendant des heures, mais Stéphane n’est pas là que pour bavarder : nous avons aussi prévu de tourner ensemble. Aucun plan précis à l’avance, tout se décide spontanément. Les scènes se tournent comme j’en ai l’habitude, sans script, sans scénario, simplement une petite introduction improvisée pour donner un fil rouge.
Je remarque assez rapidement que la belle grosse queue de Stéphane est trop imposante pour ma chatte, mais il s’amuse à la mettre que dans ma chatte. Nous tournons trois scènes mais je ne t’en dirai pas plus pour le moment. Ça sera la surprise lorsqu’elles sortiront, alors un peu de patience, et pense à surveiller mes réseaux et mon site.
Stéphane ProdX repart seulement vers 18h, et après cette journée marathon je m’offre un moment de plaisir et de repos dans un superbe restaurant. Mais je suis tellement fatiguée que je m’endors presque à table. Il faut dire que ces jours intenses à Paris, enchaîné directement après les tournages à Prague, me pompent pas mal d’énergie.
Mercredi, je termine mon séjour parisien par un bukkake. En principe ce n’est pas mon truc, car j’adore me faire baiser mais j’ai décidé de dire ‘oui’ à la proposition de Z. Je me suis dit que c’est une bonne idée de faire une dernière ‘bêtise’ avant de rentrer. En arrivant sur place je m’installe pour attendre les participants. Je profite même du calme avant la tempête pour faire quelques photos et filmer une introduction. Quand enfin les mecs arrivent, je découvre une bonne troupe de mecs plutôt jeunes et très charmants.
Dès les premières minutes je regrette que ce n’est qu’un bukkake, et pas un gangbang. Je rigole en demandant si on ne peut pas transformer l’évènement en gangbang? Je commencé à sucer les mecs, mais je ne peux pas m’empêcher d’insister. Ils n’ont rien contre ma proposition et je me dépêche de déménager de mon coussin sur le sol sur le grand matelas rond. Les hommes me suivent, se mettent autour, mais seul un des mecs veut me baiser. Les autres ne sont pas inspirés, sont trop timides, ou finalement ne sont venus qu’avec l’idée du bukkake dans la tête.
Du coup après avoir essayé d’organiser un mini gangbang, et m’être fait baiser intensivement que par un seul mec, je retourne sur le coussin pour finir le bukkake pour lequel les mecs sont venus. Les mecs me jouissent rapidement tous sur le visage.
Je profite que tout le monde ne part pas en courant après le bukkake pour questionner les participants sur leur motivation pour un bukkake? Tous me disent qu’ils préfèrent se branler et se vider les couilles sur un visage, une bouche ou des seins, et que ça leur suffit largement. Comme femme je trouve ça très excitant mentalement de me retrouver à genoux devant un groupe d’hommes, qui se vident les couilles sur moi, me sentir comme une salope souillée, même que la baise me manque toujours (un peu)…
Après ce bon moment en agréable compagnie, je prends une douche rapide pour me rafraîchir (un peu) mon visage avant de quitter la capitale, direction le Sud. Fatiguée, oui mais encore sur mon nuage après toutes ces belles aventures. C’est ce shoot d’adrénaline qui me permet d’affronter les huit heures de route jusqu’au Cap d’Agde. Avec Vincent, on se relaye souvent au volant mais nous sommes les deux bien fatigués par ce long déplacement.
Je n’ose presque pas dire que mon ‘repos’ au Cap d’Agde — qui n’en était pas vraiment un, vu tout ce que j’avais à rattraper — n’a duré qu’une bonne semaine… avant de repartir pour de nouvelles aventures.
À suivre !
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